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instants philosophie

Certitude de soi

19 Février 2022, 12:29pm

Publié par pascal doyelle

Tenir le fil

Si la liberté est précisément cela même qui compte c’est que la structure du réel consiste en cette liberté même. Soit donc en ce qu’elle peut, pourra, a pu prendre en charge. Prendre en charge non pas d’appliquer un ordre quelconque (comment ce qui est libre se soumettrait-il à un préalable?) mais afin de porter plus loin la borne du réel. Puisque l’on ignore jusqu’où le réel peut avancer.

Ce qui vaut pour le réel, pour l’humanisation et évidemment la personnalisation. L’intention, l’attention, la conscience, le champ intentionnel le moi en est chargé au premier chef ; on a trop habitué le moi à se considérer comme une moindre charge, un arrangement, et un bricolage. Lors même qu’il s’agissait originellement et historiquement du moi lui-même (qui se découvrait et s’inventait alors) qui centralisait tout l’espace et tout le temps de la création (ou révélation), de l’apocalypse (ou eschatologie) christique.

Comme tout groupe, toute communauté dans le maelstrom et le désordre méditerranéen (tenu par la pax romana, par les légions au besoin) se dissolvaient, il parut d’une part la pensée du monde (universel) et d’autre part le corps de chacun (sa « vie »),

la pensée unique universelle d’un monde lui-même unique universel

(plus aucun monde particulier ne se déploie « par-dessus », la connaissance, celle de la philosophie, de l’idéal de savoir dans la forme du système, ou des mathématiques, non déjà celui des objectivités scientifiques)

et donc pourtant ça n’est pas la pensée unique universelle d’un monde lui-même unique universel qui est le plus grand universel ; c’est la conscience en chaque corps qui de la naissance à la mort se perçoit dans la fulgurance comme une existence ; selon le segment naissance-mort, qui à la fois s‘impose et devient relatif, à une autre logique, je suis le chemin, la vérité et la vie, puisqu’effectivement la conscience-de (quoi que ce soit) est plus grand que n’importe quel contenu, et de plus autrui est la marque, le signe que l’on comprend bien qu’il s’agit non de « soi » mais chacun, chaque un, de sa nature donc absolument universelle.

- une existence valant en elle-même infiniment et non pas de son identité, de son statut (ni homme, ni femme, ni libre,ni esclave, ni grec, ni juif, tous un en christ, St Paul) ni même de ses actes héroïques ou de ses performances ; le je vaut en et par lui-même, cela veut dire qu’il peut, qu’il doit investir ce nouveau champ de possibilités

- le je vaut en son Intention (et non selon ses actes ou la Loi qui juge seulement).

Mais l’on voit dès lors qu’il s’agit d’une structure qui avance et tire elle-même tout le reste. Nous ne sommes pas humains ou personnalisés ou déterminations mais d’abord le mouvement et sa capacité.

Il va falloir quand même éclairer ce dont il est question lorsque l’on a pu, parfois, on ne sait comment, ni de où , lorsque l’on a pu aborder les extrémités, les activismes, les Bords de la réalité (naturelle), de la réalisation (humaine), de la perception (dans le champ de perception ou d’épreuve, d’épreuve de soi, d’épreuve d’existence). Toutes progressions extrêmement exigeantes.

Puisque la structure agit par hétérogénéité, par décentrement, par altérité, par déplacement du faisceau intentionnel qui ne prend plus pour centre, pour poids, le corps, l’intérêt ou l’énergie mais la vision, la perception, l’articulation ; dit autrement il s’agit, par exemple, de connaître une chose en elle-même et non plus pour ce qu’elle procure habituellement dans telle groupe humain ou dans telle appétit. Le paradigme, qui fut institué de par lui-même, resterait l’objectivité, l’objectivisme, si par ailleurs il ne s’était également et même plus imposée cette altérité, ce décentrement, tel que dieu, la vérité, la liberté ou la révolution (la justice ou la moralité kantienne), qui oblige à saisir que certes on n’obtient pas un bienfait immédiat, mais que le report de cette satisfaction, même conséquente et difficile, prouvera à l’avenir que l’on en « profitera » non pas soi ou même le groupe mais l’humanité ou la science ou la liberté, etc.

L’arc de conscience, qui est un rapport (dont il manque un point éloigné et donc dont il manque les deux termes ; le début s’absente parce que le terme s’échappe, le terme permettant de re-venir sur le début ; le rapport est mouvement et donc meut ses points d’attache),

l’arc de conscience donc s’instancie instantanément comme Stratégie ; en tant au rapport c’est faussement qu’il se fixe sur un objet, d’attention, d’intention ou de désir, de connaissance ou d’objectivité (de discours métaphysique ou scientifique), et faussement tout autant sur une œuvre (esthétique, poétique, etc).

Stratégie qui grimpe immédiatement du plus haut, du point le plus éloigné jusqu’au corps tel que donné là. L’expérience habituelle du moi ce sera évidemment le tomber-amoureux, par lequel l’autre s’impose comme le mystère étrange inaccessible (et qui le demeurerait si le vécu déterminé n’emplissait tôt ou tard le champ de rapports). Mais ce sera aussi la poésie, la révolution, l’engagement éthique, etc. Cette forme stratégique extrémiste est extrémiste ; elle n’est pas

Ce qui n’est pas évident du tout. Il n’est pas évident que la justice, la moralité, la liberté vaillent en et par elles-mêmes ; sauf si l’on admet qu’il existe des étapes de développement (selon quel critère?) qui permettent de passer d’une petite civilisation à une plus grande.

Or il s’avère que la plus grande quantité de rapports crée une telle civilisation, et évidemment il s’agit de rapports entre les consciences, prises une par une individuellement ; de sorte que la possibilité de dédisions, de projets, de vies vécues, s’en est trouvée absolument ouverte ; tout ce qui n’est pas interdit est autorisé, au lieu de « n’est possible que ce qui est autorisé ». Or cependant cela implique ceci qui est fondamental ; si chacun est envoyé à sa liberté, celle-ci doit d’elle-même non pas seulement se limiter, mais se réguler ou se régler ; ce qui veut die être en mesure d’élaborer sa hiérarchie de satisfaction, et comble du malheur, la nécessité de son insatisfaction.

Autrement dit que la structure de conscience lorsqu’elle se finalise selon le corps ou la satisfaction ou le donné ou le monde, produit un fantasme d’être, une rêverie, une imagination hallucinatoire, que chacun prend pour le désirable, et le réel pour et par ce désir, ce qui exprime une infantilisation, et pour le dire un irréalisme, ce qui dans un monde qui est justement aligné au réel même, à l’enjeu extrêmement fondamental ; de là que le « désir » devienne emblématique et symbole de notre « être », or nous n’avons pas d’être, nous ne sommes pas et on ne peut pas supposer cet être.

Ce qui revient à ce la motivation de chaque un. On ne peut pas imposer la régulation de la liberté, elle doit elle-même saisir sa structure ; or elle ne le peut que d’en être saisi. Dieu, la pensée (l’universel ou la vérité), le christique ou le sujet, ou la révolution et le réel c’est ce dont elle devait, aurait du, aurait pu être saisie. Ça n’est pas arrivé, sauf pour quelques-uns d’une part et d’autre part au niveau de l’historicité.

C’est tout ce qu’implique que nous définissions ici cette structure-sujet, du je absolument mouvement, ce qui veut dire rapport. Par quoi on voudrait, peut-être ou non, ce qu’indiquaient ces extrémités étranges ; dieu, l’être, le sujet et le réel. Que l’on ne s’aperçoive plus que dieu, l’universel, le sujet ou le réel sont effectivement des illuminations issues du Bord du monde, de la vie et de tous les champs intentionnels, cette ignorance, cette obscurité de l’âme c’est la marque, le signe de l’enténèbrement. Par quoi le moi a succombé finalement à ses petites finalités, non celles qui réclamaient sa conversion et sa capacité, mais la faiblesse de son corps ; l’économie, libérale ou communiste, n’est que l’idéologie d’un tel corps ; il n’y eu pas d’autres idéologies que celles-là ; notre temps n’a produit aucune régulation autre que celle du fantasme et de l’irréalité (en prétendant précisément à l’objectivité marxiste ou au réalisme naturaliste libéral), aucune pensée, aucun système qui puisse accorder une perspective à la masse des déterminations (produites, fabriquées, désirées, imaginées) qui nous engouffrèrent.

Au fond le moi le sait bien qui se confie à son objet, considérant par là que la vérité (la réalité, la valeur) se situe en cet autre qu’est l’objet, mais un objet, une chose, une image, un affect ne sont
p
as un rapport. Sa soif déraisonnable d’objets et d’images, vient de se confier à ce qui est autre que lui-même, mais il n’aboutit, faute d’élaboration mentale, d’élaboration intentionnelle, qu’à des fétiches, les signes fades, les retours d’affect, les pauvretés et les gris-gris, et fondamentalement la magie obscure.

On comprend bien que si le rapport, le champ intentionnel, est ce en quoi et par quoi nous existons, alors tout, y compris les affects, doivent se convertir. Il n’y a rien en dehors ; sinon l’imagination qu’il y est un en-dehors, un monde, une chose, un objet, une production, un moi qui pèseraient leur poids d’être, mais si l’être est, l’être n’existe pas. C’est donc la prouesse de la conversion, de la foi, de la vérité, de la liberté, de la révolution ou de la poésie, d’une esthétique, d’une possibilité structurelle formelle qui compte ; à savoir que ce qui existe vraiment est le mouvement et non ce qui est mû. La cause et non les effets ; nous habitons, si l’on peut dire, la cause, le mouvement lui-même, la forme. Et c’est par stupidité, aveuglement, imbécillité que nous croyons en des contenus, des effets, des choses supposées (dont l’être est sinon absent, en tout cas imaginé, sans plus et satisfait, certes mais satisfait le corps, le fantasme, ce qui veut dire qu’il ne satisfait rien du tout).

Il s’agit, il s’agissait d’approcher le bord, puisque de toute évidence nous nous situons selon une ligne de partage peut-être, de séparation sans aucun doute ; c’est immédiatement qu’est écartée la complétude, et c’est uniquement de faire front, de poursuivre, de suivre, d’enquêter et d’analyser cette séparation qui dispose du seul sens, de la seule signification admissible ; si nous sommes mouvement, vers quoi et comment cela se meut-il ? Et si nous sommes mouvement, alors le réel est en tant que mouvement, et non mouvement qui se résoudrait.

Il y a séparation afin que les réalités, et donc le réel, se sépare, se distingue, qu’il grandisse, s’augmente, s’intensifie, que par les effets la cause devienne. La finalité étant que la possibilité du possible puisse étendre sa capacité ; cela même qui n’est pas évident du tout ; que le réel soit un re-tour et qu’en ce nouveau tour, le cercle trouve en lui-même des possibilités nouvelles. C’est ainsi que le royaume, la révolution, la liberté de chacun, son Ex-Sistence trouve en elle-même un recours toujours bien plus grand. C’est ce que signifie que l’ontologie soit celle de Münchhausen. Littéralement. Que le réel devienne plus réel, veut dire que dieu, l’universel, le sujet ou donc l’exister s’instancient, s’inscrivent, s’implantent toujours-plus en tant que Réel.

Par exemple le christ nous indique en quel sens, quelle orientation, quelle direction (littéralement aussi, cad direction dans le réel et le monde et la vie donnée telle que là) il faut se tourner pour que le réel avance (sinon il reculera, et surtout pour nous il nous happera par devers, nous dévorera dans le sens inverse).

Un mouvement qui s’aplanirait, cesserait et annulerait sa structure même.

Et c’est tout autant ce qui permet de basculer d’un être rêvé, halluciné, qui susbtantialise la réalité (ce que visiblement elle n’est pas) à la considération que « le réel » est formel et que se pose la question de la nature de cette formalité.

De par le fantasme, on imagine la satisfaction, le bonheur, la complétude, l’être solide et ressenti. Mais si l’on devait véritablement admettre, intégrer ce qu’il en est de notre être il faudra se tenir au plus près du fil et qui n’est que tel, un fil.

Le fil est ce qui tient tout le reste, tout ce qui est, tout l’être, toute la vie vécue. On n’otiendra, de ce côté-ci, rien d’autre que de tenir le fil. Dit autrement ; ce qui constitue le fil qui entoure le monde et la vie est cela même qui seul compte. On existe sur le Bord.

Rien de ce qui est du bonheur ou d’une société organisée, juste, préservée des nécessités ou des difficultés n’est négligeable. Mais en aucune manière toute cette préparation ne suffira. La question demeurant ; qu’est-ce qui nous manque, nous manquera, quoi que l’on fasse ou veuille, nous manquera de ce côté-ci du réel ?

On peut se contenter de très discrets bonheurs ou de grandes gloires. Mais ce sera au prix de n’avoir pas creusé verticalement. De n’avoir pas cherché l’articulation très réelle originelle, la source, la cause,l’articulation, le pli de tous les autres plis. Chacun fait comme il veut après tout. Laisser grandir le vertige n’est peut-être pas une bonne chose.

D’autant que la recherche risque fort de s’effondrer sous son propre poids et se perdre elle-même, se dénigrer et se dégoûter ; il faut bien s’assurer que sa propre volonté, sa propre intention ne faiblira pas, lors même qu’elle tournerait en rond ou tournerait folle.

Ou donc ; quels que soient les résultats cette volonté-là ne lâchera rien de et dans sa propre intention. C’est de cette intention dont il faut rester certain, quelque résultat escompté. Elle est et restera certaine de son Intention ; ce qu’impose profondément Descartes ; que rien ne peut détourner le flux, le faisceau de la certitude, lors même que l’on ne comprend pas, ne connaît pas, puisque cette certitude affecte la structure et non les contenus, la forme et non les effets selon le monde ou le donné ; il y a en nous autre chose que la pensée.

Donc nous sommes sauvés. Que l’on tourne et retourne en quelque sens que ce soit. Puisque notre être est atteint de sa propre évidence, quelque chose en nous est déjà sauvé, autre, en plus, externe et manifestant cette effet de Bord. Et si c’est un effet de Bord, alors le bord est déjà lui-même distinct. De sorte que c’est seulement si l’on se croit encore dans le monde ou la vie vécue que l’on ne Voit pas comme l’on se tient du Bord.

Qu’il y ait un Bord (et c’est ce que signifient dieu, l’être et l’universel, le christique et le sujet, le sujet et la révolution, cad le royaume des fins, le moi et son conjoint le réel, qui apparaît avec l’existentialisme quand même, il faut se rendre compte de ce fait crucial) veut dire que le Bord est cela même qui existe et que la forme (de la réalité, cad de cela des réalités, la forme s’imposant comme seule unité des réalités ; il n’y a aucune réalité en soi ou une qui rassemblerait les réalités, ça n’aurait aucun sens) que la forme donc prévaut sur les contenus, l’intention sur le vécu (l’intention d’exister est plus grande que toute vie, le je que tout moi-même).

Répétons.

Il n’y a aucune raison de douter de quoi que ce soit. Ce qu’avance Descartes n’est pas (seulement) une procédure épistémologique ou une connaissance ou une pensée. Que le je soit le cogito (ou plus exactement que le cogito soit le je) emporte, quels que soient les effets, résultats, contenus de conscience, champs intentionnels en quelque domaine que ce soit (éthique, esthétique, politique, d’humanisation et donc d’historicité ou de personnalisation et ainsi de modification de toute vie vécue en existence telle quelle, etc), ce changement, ce re-tour, ce nouveau tour joué, ne peut en aucune manière être nié, abrogé, annulé, dénaturé ; il est hors champ puisque tenant tous les champs.

C’est bien pour cela qu’historiquement l’articulation intentionnelle (ce qui veut dire l’égalité christique, la liberté cartésienne et la révolution) s’est imposée. Elle est le fait structurel formel, et donc absolu.

On peut bien tenter de le contrarier, rien n’y fera puisque c’est à partir de lui, de son acquisition, de son auto-acquisition (puisque c’est un rapport il doit se-vouloir, et se-vouloir comme mouvement, autre et étranger à lui-même et à tout, un rapport ayant rapport à … soi comme rapport, à soi comme mouvement, l’enquête ayant à être menée sur ce mouvement comme mouvement, ce que Descartes voit très bien qu’il désigne en tant que dieu, ce dieu tout à faut étrange et mystérieux lui-même, qui n’est plus le théologique).

On dira, peut-être, que ça tourne en rond. Mais c’est un rapport. On ne sait pas ce qu’il contient d’une part, et d’autre part il désigne, il oriente, il signe vers quelque réel. On peut très bien n’admettre que la fonctionnalité ; à savoir que ça s’utilise, ce rapport, afin de mouvoir les pensées, les représentations, les images, et à la base les signes (qui installent les dites images, représentations, et même émotions ou affects, puisque tout peut être signifié, accolé d’un signe, ce que justement l’acculturation gigantesque depuis 2500 ans (au moins) a décuplé, étant donné que nous sommes sortis du cercle du groupe, de la communauté, qui devait garantir sa stabilité stricte, question de survie, de communication entre, et de transmission dans le temps, cyclique de ce fait).

Ici est absolument écarté que la « pensée » ou la représentation ou le langage puissent créer l’arc de conscience ; au minimum il est fonctionnel (et, en vérité, pour nous, ici, il est dimensionnel, lors même que le statut, la solidité et la consolidation de ce dimensionnel restent absolument l’interrogation majeure ; qu’est-ce que ce dimensionnel ? On abat toutes les cartes, depuis le début ; on ne sait pas ce qu’il en est, on approche du bord, de l’arc de conscience dans l’arc du présent et du présent comme Exister, l’exister comme cause des choses (seraient-elles des univers ou des galaxies ou des molécules), des êtres (et spécifiquement des vivants, selon notre expérience) et des consciences, autant que l’on sache.

Que la pensée ou le langage créent la conscience nous semble une aberration ; il n’y a de pensées et de mots que de signes par, vers, et pour un arc de conscience ; tout signe adresse à un faisceau intentionnel. Que le langage soit requis, oui, mais est requis également un vivant et son corps, un monde naturel et un univers ; ces requis n’expliquent pas la nouveauté, le surgissement.

Rappelons que le rapport implique à la fois la réalisation et la possibilité. Ce qui est réalisé, au sens limité (et ce qui est réalisé effectivement est toujours limité, par définition ; il n’est que de la détermination) ne peut être tout ce qui est. En vérité le « être » n’est pas. Sauf relativement à l’exister, ou donc au Possible. Ce qui existe vraiment est le possible et ce possible vient tel le présent ; dans le présent le possible devient possible. On pourrait même imaginer, visualiser qu’il existe un Possible dans le Possible. En fait il ne peut en être autrement ; sinon le possible n’existe pas et donc rien n’existe, étant entendu que l’on a assujetti la réalité en tant qu’elle est réalisation, réal-isation, réalisation en cours, et ainsi incessamment en cours.

La Réalisation ne peut pas éteindre la Possibilité elle-même (si l’on accepte l’hypothèse, le principe que le mouvement, le formel, la structure existent et seuls existent).

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