Top articles
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Le réel est ce qui n’apparaît pas
Si la conscience est seulement un retour, elle n’a aucun contenu et est toujours réflexive ; or cette réflexion de ce fait absorbe tout contenu ; elle est indéfiniment ouverte à tout ce qui arrive (dans son champ) De sorte que toute irréflexion est déjà...
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De l'amour qui fricote (par en-dessous)
La question de la conscience place et déplace l’ensemble des problèmes. Et en ceci que l’on peut alors décider en quoi il faut appuyer et finalement vers quelle réalité. On remonte ainsi très loin en ce que la philosophie de faire-attention à ce qui est...
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Le libre comme interface
Le libre ouvre intégralement une dimension interne ; elle n’est pas intérieure en sa source, mais pourvoit considérablement à ce qu’une intériorité peut attendre de son intention propre. Il apparait grosso modo que le déploiement d’une intériorité est...
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L'hypothèse heidegerienne
L’hypothèse heideggérienne Voudrait que ce ne soit pas la découpe en universalités (qui pensent les étants et non pas l’être), mais une compréhension hors de notre activité qui, compréhension, transparaitrait malgré nous ; ou dans une passivité. En quoi...
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Le libre comme dimension (antérieure à la raison)
La pensée se définissait comme adéquate ; à elle-même et au monde donné et vécu. Elle désirait réaliser l’Etre, mais en tant que l’Etre est aperçu seulement par l’esprit ; par la compréhension intellectuelle. Mais le discours cohérent s’aperçoit qu’il...
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Réécriture de "soi"
Réfléchir ; se modifier. Plutôt que de s’accepter soi tel que l’on est (tel que le hasard et la vie nous produit) et plutôt que d’attendre que le vécu te transforme (la plupart du temps en amoindrissement), on peut décider ou il est possible qu’il vienne...
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Devenir du sujet, Stratégies de l'intention
L’intellectif Il est donc arrivé qu’au beau milieu de sa course le discours de connaissance s’est brisé net ; il est clair qu’il a imposé que toute idée doit être rationnelle ; tout élément inclus est compréhensible via les autres éléments énoncés. Ce...
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Du non-sens de tout (et de sa logique remarquable)
Il ne suffit donc pas de dire que rien n’a de sens ; que ça ne va nulle part qui nous satisfasse. Il faut dire que ça avance par une orientation qui ne nous convient pas. Nous voudrions nous replier sur notre quant à soi, mais la structure formelle de...
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L'os de notre être
Si notre être, le vrai, est la pure attentionnalité, habituellement simple faire-valoir de quelque contenu, notre être est effectivement sans but possible dans le monde ; mais puisque notre être est, c’est donc que notre finalité n’étant pas de ce monde,...
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L'être-libre fracasse ce qu'il a sous la main (ontologiquement)
Si rien n’a de sens, cela veut dire qu’a priori ça ne va nulle part. La proposition logique identique inverse revient à dire ; ce qui est, est. Autrement dit tout est là. Et le bienfait de ceci étant ; on ne sait pas ce que c’est. Ainsi notre être est,...
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L'être de l'homme est ce qui existe à peine
L’être de l’homme comme structure formelle pure Le structurel est donc ce qui n’apparait pas sauf qu’il agit constamment dans la mise en place de nos déterminations ; sous deux formules. Puisque notre être est de simple retour (il est simple puisqu’il...
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L'engeance du dépassement
Si l’on se permet une vue généralisée, on peut donc dire que l’on passe de la parole : comme auto organisation d’un groupe humain limité, exécutée de vive voix, toujours parlée corps et âme mêlés, qui régule l’ensemble des échanges ; ni l’échange en soi,...
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La pensée idiote qui suivit l'être-libre
La pensée idiote absolument qui suit de près la survenue de l’être-libre, comme seul fondement de toute réalité humaine, est celle du moi-même. Par quoi chacun est ainsi cloué, à jamais, sur la croix de sa pauvre destinée, comme si celle-ci possédait...
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L'intention d'exister
Que notre être soit une structure, pure forme vide, ne signifie pas qu’il soit juste une fonctionnalité, fut-elle éminente. Mise en forme Que fabrique une forme ? Elle met en forme. Mais on y est tant habitué qu’on ne l’aperçoit pas. Elle ex-siste dans...
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Le sujet-libre s'en fout de l'inconscient
Le moi comme synthèse imaginaire Le moi est une unification synthétique du divers vécu, dont il entend s’animer comme si cette unité était une vérité. Il y croit, le moi, à son essence. Le sujet est tout-autre que tout Mais il est dans le moi un sujet,...
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L'être-libre comme réel devenir, pure positivité
Il est évident faux de croire que l'on est si immédiatement soi-même strictement ou nettement défini : mais cela ne tient pas à notre manque ou défaut d'être qui alimenterait un désir répugnant qui comblerait notre néant. Ce serait plutôt l'inverse. C’est...
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L'être-libre absolument simple
Le savoir simple de « soi » Notre être tiendrait donc entièrement dans cette simple fonction de conscience-de, laquelle se définit comme retour-sur (quel que soit ce sur quoi elle fait retour ; perception, physiologie, mots ou signes, etc). En soi parfaitement...
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Du devenir vaguement humain
Bizarrement la volonté acharnée d’interpréter l’humain selon le monde, a fini par intégralement enfermer l’être de l’homme dans une activité d'illusion ou une capacité imaginaire, ou fabulatrice ou de mise en scène. Or il est évident par ailleurs que...
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De la contrainte de l'être-libre
Le libre de base Le savoir de soi est radicalement simple et sans contenu ; il est absolument parfait et nous confère l’Idée de l’infini, mais de plus et pragmatiquement, il nous commande de pousser la détermination, le quelque chose, la matérialité,...
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L'architecture du libre, pur et formel
Forme absolue et contenus quelconques C’est donc en tant que purement formelle que notre être vraiment réel existe ; en tant qu’attention, qu’intentionnalité, conscience et donc structure (autorisant des stratégies, au-delà mais comte tenu de la détermination,...
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L'être-libre impensable impensé
De l’image de soi à l’idée de soi Il est ici et là des tentatives d’éthiques ; l’éthique se déploie aux confins de l’image de soi, visant à substituer au moins en partie à l’image, une Idée ; une Idée de soi. Par quoi chacun peut advenir à la vérité et...
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Notre être de perfection et de jouissance
Notre être de jouissance et de perfection Si notre être est forme pure la perfection existe de fait, sauf qu’tant purement formelle, vide et sans contenus, jamais, qui puisse la satisfaire, c’est uniquement en tant qu’activité que notre être peut se réaliser...
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Fabulation et déma(e)ntibulation
Puisque la loi de ce monde humain est l’être-libre (lequel étant déjà à lui-même une unité ; puisqu’il est l’unification véridique de son savoir de soi ; il est vrai puisqu’il se sait, (on ne sait pas le faux ou l’erroné) et cette structure formalise...
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L'ouverture illimitée du monde, du donné et du vécu
Le sujet dont Nietzsche est le performateur premier Si l’on n’est pas limité en cette formulation abominable du moi, du moi-même, si le sujet existe (qui ne conserve que la conscience dans tout le fatras de ce moi mortel, mortifère, salement engageant...
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L'idée intérieure de la philosophie
Dans la vision générale on peut avancer que l’humanisation est passée de mondes particuliers (en grande quantité) au monde unique dit universel, qui est de fait par définition unique et non particulier... L’insoumission de notre-être L’universel Ce qui...