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instants philosophie

Le point tout au bout

4 Juin 2022, 08:56am

Publié par pascal doyelle

On ne valide ni n’invalide dieu, la pensée, le sujet ou le réel comme réellement existant, comme hypothétiques réels réellement réels ; on dit seulement qu’ils furent les signes (en fait les signifiants, étant entendu qu’il n’est de signifiant que dans et par un « sujet » ou un regard, il faut que ça fasse signe) les signes majeurs de notre orientation (dans le monde donné, la vie vécue et la représentation en général de tous les champs) ; les autres positionnement sont seconds, seconds mais non forcément secondaires (quoi qu’il y eût quantité d’attitudes subjectives plus ou moins, ou même surtout arbitraires, qui, elles, ces attitudes, s’effondrent dans diverses immédiatetés ou intérêts, intéressements immédiats ; ce qui veut dire que leur finalité s’appesantissaient vers le monde, la vie vécue, le corps et non prenaient appui sur le haut de la structure, qui n’appartient à aucun intérêt du monde ou du vécu).

Ce faisant ces signes de structure opèrent effectivement, soit lorsqu’ils lancent la possibilité et renouvellent tout, soit de marquer le temps (puisque c’est de cela dont il s’agit, du temps ; quelque réel arrive parce que le temps achève la réalité, constamment, et la structure s’introduit dans la réalité par l’acte du présent, tel qu’il transcende et montre, voire démontre, sa transcendance ; et les dates d’apparition de dieu, la pensée, le christique, le sujet et le réel comptent, et nous comptons à partir de ces dates).

Nous sommes donc parvenus à la porte de tous les mondes. C’est ce qui se manifeste lorsque l’on admet que dieu s’est donné tel quel, que la pensée est orchestrée très rigoureusement, que le sujet est à-lui-même une unité de rapport (et aucun rapport ne se donne sans y être), que le réel est effectivement là-au-devant comme Fait absolu, cad formel.

On a dit ; dieu, la pensée, le sujet, le réel.  Faisant fond, en somme, de la phénoménologie, revue eet corrigée par Sartre, entre autres, et non plus seulement liée à la pensée, ancienne version de la philosophie, qui demeure toujours actuelle mais réintégrée dans la réflexivité, ce que Kant nommait le criticisme ou le transcendantal,

ce qui veut dire une autre-position de la pensée, de la réflexion, du retour sur ce-qui-est, Nietzsche par ex réinvente un autre transcendantalisme, mais de même Hegel ; le transcendantal prend le pas depuis que Descartes crée, produit, fabrique, installe, instaure, positionne, instancie que le je est effectivement « là », ici même et il le prouve par monstration et non par démonstration, ou à peine ou secondairement ou de toute façon ça n’est pas le but, mais, ce qui se révélera par les suivants, de dresser le mur du réel, étant entendu que tout je est arc-bouté au donné tel que « là », anciennement l’être, comme idée, mais que cette fois il s’agit de la perception structurelle de la position du je ; ce que Kant délimitera, littéralement, autour du phénoménal ; nous sommes dans la perspective de décrire ce qui se passe autour de ce qui se perçoit ; puisqu’aussi bien de la métaphysique, y compris théologique, on en a fait le tour, et visiblement la pensée métaphysique ne parvenait pas jusqu’à son extrême (l’être, le bien, le un, etc) ; raison pour laquelle le sujet cartésien réintroduit une ontologie tout à fait différente ; et, surprise, en tant que le sujet y introduit lui-même par lui-même ; en quoi il devient un je.

Il est bien évident que parvenu à ce point, il convient, nécessairement, d’installer le fond, grund, que suppose le sujet, que suppose qu’il y ait un sujet … Ce qui cause des troubles méga-graves à tous ceux qui voudraient encore définir, universellement, une réalité solide et valant en-soi ; parce que si il ya un sujet, si il y a « du sujet » alors il existe, et lui seul existe. Rien, absolument rien du tout, ne peut contrecarrer le sujet, le contredire, contre-dire ; rien ne peut remplacer, se substituer, permuter la liberté du sujet. Donc le réel est libre.

Parce que si on contredit le sujet, alors on redescend d’un cran. C’est tout simple. Si on doit établir une ontologie, métaphysique, théorie ou ce que l’on veut, elle doit se tenir au niveau de la dernière conclusion ; et celle-ci est cartésienne (ou kantienne ou sartrienne) que le sujet existe. Si on établit un « calcul » qui prétendrait englober et donc annuler le libre sujet, dans une computation, alors la computation est « plus vraie » et contraint le je. Et ça n’est pas possible.

Si à l’inverse, bien sûr, on maintient le sujet alors on le rend, ontologiquement, capable et donc plus grand que l’objectivité ou la computation ; sous-entendant que l’on tient, en maintenant le sujet, la source même de toute computation, sa raison d’être, sa validité, sa capacité du sujet lui-même. À savoir et pour faire simple, que la computation consiste en seulement ces rapports du sujet (comme structure seule réelle).

Qu’il y ait quantité de contraintes, de nécessites, causalités, etc, personne n’en doute, mais qu’en fin de compte (dans le seul compte qui vaille) l’activité du sujet soit cela même qui vaut (et le résultat par lequel tout le reste prend seul sa signification) oriente vers l’ontologie du réel comme Possible brut. Puisque si le réel consiste en Rapport(s) c’est exclusivement pour indiquer que le Possible en présente la logique.

Si la liberté existe alors la substance, la nature, la structure du réel est le possible.

C’est cela même qu’il faut penser. Il faut plier la pensée face à ce roc solidement implanté et découvrir la structure de ce je (Descartes, Kant, Hegel, Husserl, Sartre, Lacan, et sous variations Nietzsche, Heidegger, Kierkegaard, etc) et supposer, projeter, visualiser la réalité que ce réel entraîne, implique ; soit donc aux dernières nouvelles, l’en-soïté de Sartre et « le-réel » de Lacan ; l’un et l’autre en tant qu’ils aperçoivent ce réel du point du sujet ; puisque le sujet se conduit de ce qu’il se constate, s’expérimente, se montre tel, s’expose et entre dans le champ (de perception d’expression de représentation de réflexivité).

Ontologiquement cela signifie que le réel est absolument, cad formellement, mouvement ; et un mouvement qui assume sa complète ampleur.

À savoir ; le possible est absolument le réel même ; dit autrement ; la finalité du réel est d’obtenir un plus grand possible. Soit fonctionnellement (un être libre, qui n’est pas un être, déterminé, mais un rapport). Soit dimensionnellement ; une structure de pure activité qui se dit en tant que je, puisque seul le « sujet » (cad le rapport) peut assumer et assurer que le possible puisse re-venir sur lui-même. Ce qui est la définition même du possible (qui ne réalise pas un être préalable mais se réalise lui-même et dispose la réalité à cette fin ; que le début soit toujours plus grand, que le réel soit encore plus positif, que le réel avance en tant que réel).

Cette finalité absolue est dite telle parce que formelle ; c’est bien pour cela que les extrémités de ce-qui-est (appellation générique), à savoir l’être, le bien, le un, etc, ou dieu, le sujet ou le réel, se révèlent indéterminés ; si difficilement descriptibles ou compréhensibles ; ça n’est pas par manque (de notre esprit, de notre condition, du monde etc) mais par excès ; et on peut alors situer l’articulation de cet excès ; il devient, il ne peut pas être décrit puisque toute description sera-déjà une perfectibilité de plus, déjà un engagement, une création ou la continuité du Créé tel quel.

Dit autrement et de très très loin …. on ne sait pas ce qui Ex-siste au Bout. Tout au Bout du réel on ne sait pas jusqu’à quel degré de perfectibilité le réel peut avancer. On n’a pu expérimenté, probablement, que les prémices exigus de ce qui ex-siste ; dieu, la pensée, le sujet, le réel (et à chaque fois il ne s’agit pas d’une perception, d’une imagination ou d’une idée mais d’une intuition structurelle invisible, inimaginable et impensable ; c’est ensuite que ces intuitions ouvrent, à rebours, tout ce qui fut précédemment, elles font butées, et pour nous historicité en plein de leurs Faits Majeurs, ontologiques). On tente donc de penser, de relier, d’universaliser (en fonction d’autres enjeux que ceux jusqu’alors installés) l’au-delà, ce qui veut dire le Bord ; les Bords à partit desquels on a avancé.

On universalise et pour ce faire on introduit des concepts étranges ; le possible, le rapport, l’ex-sister, l’arc ou les deux arcs (l’arc de conscience actuel dans l’actualité du présent brut), etc.

Reprenant donc la philosophie qui s’est inventée, à neuf, depuis Descartes. Et cherchant à catégoriser les aventures, les expérimentations, les explorations de structure qui s’incarnent évidemment par des Noms. Des sujets, des je ; dimension inaccessible sans ceux-ci.

Remarque ; n’oublions pas que l’objectivité c’est très bien (qui s’en plaindrait ? ) mais que cette objectivité est mise en œuvre par et pour un sujet ; la réalité telle que dé-couverte depuis 2 ou 3 siècles, est obtenue par l’arc de structure du je (qui s’est rendu capable de tout, y compris du tissage des mathématiques) ; que le sujet est encore-plus objectif que l’objectivité (le sujet qui supporte donc, qui porte, qui rend possible l’objectivité) ; on tient pour parfaitement parfait, si l’on peut dire, la pensée, la réflexivité, la philosophie et que son « bougé », son « indétermination » ne vient pas de son statut, son inefficacité, mais de son objet, parce que son objet c’est un sujet, une structure sujet ; dieu, la pensée, le sujet et le réel sont des structures « sujet ».

Dit autrement ; la réalité, le réel ne peuvent pas simplement ou seulement se catégoriser dans des objectivités. Ce qui revient à passer des déterminations (qui sont universalisables, en tout ou en parties), à l’indétermination en tant qu’elle doit être pensée ; en quoi donc il faut étendre l’universel (sinon on ne comprendrait rien) à l’indéterminé. Ce à quoi sert le « rapport ».

Ou donc ; ce que l’énonciation, les propositions diverses expriment doit se voir dans votre œil ; ça ne peut pas exister ailleurs. L’indéterminé est le rapport qu’un je seul peut saisir (et donc « en être saisi »). Et cela même, cette perception interne à la structure-sujet, c’est elle qui mesure votre engagement (l’éthique exclusive du comportement approprié sa dimension propre). Comme dit le christ ; vous voyez parce que vous voyez, sinon non (ce qui veut dire que vous voyez parce que le père vous a communiqué de « voir », la grâce, et ce avant même que le monde soit (st Paul) ; dieu a déjà eu affaire avec votre liberté parce que la structure du monde, du créé est la liberté, selon la forme du rapport, qui ne laisse jamais rien tranquille, qui est pure activité) ; tout ce qui « est », en vérité existe, ex-siste, ce qui veut dire qu’il demeure dans la possibilité du possible ; c’est lui qui voit et donc il voit votre liberté, il n’y a rien d’autre à Voir… ce qui est infiniment difficile à quiconque qui est dans, selon, par le monde, le vécu ou le corps (ce qui est le cas de tous) ; l’arc du réel, absolu cad formel, est l’ensemble des libertés.

Et c’est à ce point exigeant et au-delà de toute mesure, pour nous, que pour y atteindre il faudrait traverser toute l’épaisseur du monde, du donné, de la vie vécue et du corps, et néanmoins n’en être pas touché ; tout en percevoir, ressentir mais parce que l’on se sait d’une autre structure, immobile et sainte.

Un tel point, à ce point extérieur, c’est précisément ce que dieu, la pensée (l’être, le bien, le un et évidemment le premier moteur ou mouvement), le christique et le sujet, le réel viennent à situer. Puisque ce sera à chaque fois par eux que l’on se situera et localisera tout ce qui est. Les ronds points. Le rond point est non mesurable (comme le cercle).

Ce point externe est ainsi ce qui nous protège, des atteintes du monde, de la vie vécue et du corps. Si un tel point n’est pas la ténèbre nous avalera. Parce que ce ne seront pas quelques bouts de nous-même, par-ci par-là, qui, de nous appartiendront au monde (et donc à la dispersion) mais ce sera tout entier, tout entièrement composé de bouts de monde, de vie vécue que nous disparaîtrons dans le marécage de la réalité. Si un seul Bout de nous-même est hors monde mais également hors vie vécue échappe, alors « il me sera loisible de posséder la vérité dans une âme et un corps » (Rimbaud, Adieu)

ce seul champ qui nous sauve est le point de vue externe absolument qui ne s’attache à aucune des déterminations, des attachements, des affects, des images ou imaginations, des rêves ou désir, idées ou projets qui, tous, appartiennent, au final, en fin de compte, tout compte fait, au monde mais aussi à la vie vécue. En vérité il n’existe que dieu, la pensée, le sujet et le réel, le reste appartient au monde, c’est-à-dire à la mort, à la dispersion de la détermination ; le reste, tout, appartient à l’être ; on ne cherchera donc pas à sauver telle ou telle partie du monde ou de la vie ; seul le Bord, le Bout tout à fait externe, existent. Seule l’âme existe.

Et contrairement à ce qui traîne ici et là (en fait partout, dans toutes sortes de discours ou d’imaginations) il ne s’agit pas de quitter le monde et abandonner la vie pour une finalité absconse et vague et éthérée, mais d’actualiser ladite âme parce que c’est par là seulement que tous les faits et gestes du monde et de la vie seront non pas du tout abandonnés, mais repris par et selon la seule perspective qui vaille.

Il est fondamental qu’un point soit externe afin que tous les effets, tous les résultats puissent valoir ce que vaut ce point externe ; la raison en est que le point externe est un rapport qui élève les autres rapports (tous ceux en quoi consistent la vie ou le monde) et même, évidemment, un rapport qui ouvre quantité d’autres rapports, qui rend possible les possibles ; lorsque les chrétiens commencent d’examiner leur vie, Montaigne son testament », Hegel l’État, ou Rimbaud recréant le sens poétique, le sens des significations poétiques (en reconduisant le langage même en cela même qu’il signifie et auquel on ne comprend plus rien, manifestant sa puissance, la puissance, la potentialité des signifiants), les années soixante les capacités du moi-même, etc.

Ou inversement Rimbaud se constitue comme point autre. Et vous êtes vous-même un tel point autre, et votre propre secours, évidemment, ce qui rejoint « l’estime juste de soi » de Descartes. Obtenir qu’un écart de conscience se tienne tout au bout du réel, du possible, c’est tout aussi bien par-delà la mort, la fin, le terme mais également hors la jouissance ; que cet arc de conscience n’y appartient pas (quelque sens que l’on donne à ce par-delà), que l’insatisfaction est la signature du signe véritable, étant entendu qu’alors le summum de la jouissance (ce qui veut dire la vraie jouissance, ce pour quoi passe la jouissance, pour un summum, une hallucination) est extrêmement proche et que l’on peut fondamentalement se tromper soi-même et ne prétendant plus atteindre la jouissance, y succomber en plein, s’égarant encore-plus, ce qui est le syndrome rimbaldien (par quoi débute quelques poèmes et une saison, qu’il l’ait trouvé amère).

Cette promiscuité, cette juxtaposition, cette confusion tout à fait profonde, c’est très précisément et très exactement ce qui est, lors d’une vie individuelle (qui a pu se mener suffisamment loin, s’approfondir), ce qui est en question ; ce par quoi, aussi, se dresse le christique ; à savoir que l’on est alors si proche de l’égarement, Dionysos ou le crucifié, que l’on y tombe, que l’on y tombera, sauf le christ, qui nous prévient et dont la Passion consiste en cette échappée ; qu’il nous rappelle donc que l’on tombera mais qu’il suffit de ne pas y croire, qu’y tomber et s’y enfermer, en cette tombe, est une question de foi et de sa compréhension (en l’occurrence qu’il est l’issue hors-monde, hors-vie, hors-désir ou intérêt, et plus fondamentalement hors temps, lui-même et en tant que messianisme eschatologique de la « fin des temps », ceux qui sont « déjà-là », de mystérieuse façon). Et cette foi non seulement alimentera l’historicité (l’histoire ontologique) mais aussi l’histoire (les faits et les gestes, soit la révolution, eschatologique liberté-égalité-fraternité, en attendant le retour du messie) et tout autant l’esprit de l’humanisation, le saint esprit, la pentecôte, l’investissement de tous et de quelques-uns, ladite acculturation généralisée (et donc universelle) de chacun, de chaque un.

Par quoi dieu, unique, s’est voulu un peuple unique (les juifs) et puis ensuite que chacun soit à neuf, entièrement à nouveau, appelé un par un (par le christ) et qu’il s’agira d’un peuple (celui de la révolution, de 1789 à 1958, ou mieux 1968) d’individus à l’exemple de laquelle nation, politique (et non pas raciale ni ethnique) s’élaborera la politique des siècles.

Pareillement l’estime juste de soi, cartésienne, c’est s’admettre soi (tout à fait éloigné du péché au fond) et avec distance et sérénité ; une sorte d’assumation du fait humain individuel, qui se pardonne et n’a qu’une seule orientation de la conduite ; que ses décisions, ses actes, ses projets aient des « effets », des effets réels (et non plus seulement des pensées) ; en quoi il ressemble encore plus au christianisme (qui ne perd pas son temps dans un légalisme ou une condamnation de soi sous le Regard de la Loi, que l’on remplacera par la Règle ; le je est sa propre loi, mais il est véritablement une loi, et non pas n’importe quoi (Kant, Hegel, Husserl, Nietzsche etc, ou Sartre ou Lacan suivront ; les lois effectives de l’être soi-même du je, qui n’est pas le moi mais ne le condamne pas, ne le condamne plus).

Pourquoi l’unique dieu divin (non dilué donc) et l’unicité (pointue, la plus pointue possible, comme extrémisme brut et comme forme pure) ? Pourquoi le messianisme et l’eschatologie ? Parce que le un est un rapport et que l’on ignore l’autre Bout du rapport, tout situé que nous sommes sur le Bord de tout ce qui est (le présent).

Parce que le rapport est seul réel, qu’il n’y en a qu’un (il n’est pas composé, par nature, par structure), et qu’il doit se confier à lui-même, lui-même en grand, en plus grand. Si votre être réel est formellement un rapport, il ne tient pas dans les contenus, les images, les vécus, les champs, mais est la pliure qui articule non seulement les réalités, mais sa propre forme réelle ; avant d’être, vérifiez les variations de votre rapport. Si Descartes offre une unique face (il installe la seule ouverture dans le monde qui existe, si on excepte dieu et le christ évidemment, ce pour quoi la religion a dû s’en méfier ; il plante le clou sur l’étendue du monde),

et toute la suite a pu analyser les plis de et à partir de cette articulation ; non seulement les plis structurels (qui tiennent à l’analyse de sa structure) mais aussi les plis inventés, créés, en tant qu’explorations de son possible, toujours à l’extrême limite du possible, forçant chacun au bout du bout (jusqu’au voyage au bout de la nuit, et au-delà depuis la rupture des années soixante) et en tant que créations de champs structuraux (décuplement des esthétiques, poétiques, éthiques, politiques, humanisations et personnalisations).

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