Le sérieux du réel
D’une manière générale on ne prend pas au sérieux la philosophie de même que depuis le 18éme, la religion, et on mésestime toutes les expérimentations et les explorations qui eurent lieu, comme si Bouddha ou jésus, Platon ou Hegel étaient de pauvres idiots et nous-autres tellement intelligents et lucides. On ne peut pas réfléchir sur ce qui eu et a lieu, si on part du principe que tout est erroné.
On a pris donc l’hypothèse inverse à savoir ; tout est vrai. Reste à analyser les perspectives ouvertes par ces vérités, parce que ce ne sont pas des « idées » mais des perceptions et les devenirs s’y révèlent nus et immédiatement, immédiatement à condition de s’y situer à niveau et donc de repérer la carte sur laquelle les devenirs s’expérimentent ; que ces expérimentations ne coïncident pas avec le donné naturaliste, humaniste ou réaliste habituels, c’est justement ce qui permet de ne pas succomber au milieu ambiant et à l’idéologie générale si communément partagée ; en somme si l’on n’est pas révolté « contre vieilles lunes » on n’est pas libre ou rationnel ou lucide, ce qui, ce refus de la grande tradition dite d’occidentalisation, paradoxalement permet de laisser libre court aux émois subjectifs et comme le gout individuel est bien peu de chose, de se laisser aller aux pouvoirs et aux idéologies voire idéomanies, modes par ex, l’esprit du temps momentané, du moment donc et des intérêts … or en admettant la véracité de toutes les positions on est obligé d’en passer à l’objectivité décidée et décisive, l’hyper-objectivité qui mit en branle toute l’historicité et de récupérer l’ensemble des positions de structure ; il faudra tout justifier au sens de « tout expliciter ».
C’est typiquement ce qu’a commencé de composer Hegel ; trouver le point commun entre toutes les « notions » (c’est une typologie plus étendue que de seules « idées ») ; et on dit ici que le point commun est une jointure, puisqu’il n’est pas seulement question d’idées ou de systèmes mais de toute intentionnalité plus ou moins cohérente qui adhère aux réalités ou au réel (aux contenus ou vécus et d’autre part aux feuilletages de l’être, de dieu, du un, du christique, du sujet ou de l’altérité, quelle que soit sa forme). Ça ne peut pas être un contenu qui résumerait ou permettrait d’atteindre tous les contenus ; il est impensable et il est impensable parce qu’il n’existe pas ; ce qui existe c’est l’articulation entre tous les contenus ; qui réclame dira-t-on un autre contenu encore … ce serait tourner en rond, mais on a dit et on a vu que la philosophie (ou la religion) n’est pas une question de « contenu » mais de position, non d’un concept ou d’une idée (qui sont des relais) mais de signifiants qui disposent votre corps sur la surface non du monde (étendue) mais de l’exister ; l’être, des grecs, prend position sur le réel ; dieu, ou le christique ou le sujet ou l’altérité sont des variations de structure sur … la structure ; et donc sont adéquatement coordonnés au réel.
Le super-contenu n’est pas impossible parce que « hors de portée » c’est impossible parce que ça n’existe pas (c’est ce que montre Kant, il remplace la métaphysique par le transcendant, bien réel, d’un sujet) et que ce qui existe (qui est plus grand que l’être et que l’idée) c’est une structure soit donc un rapport et le rapport structurel c’est le présent. Donc tout s’affecte fondamentalement, à la source, de ce présent et c’est la structure de présent dont il faut tirer la leçon. Soit donc « ce qui est situé sur la surface même » qu’est le réel ; dont les devenirs de structure marquent, balisent le parcours, le chemin, la vérité et la vie (celle existante).
Il s’agit donc d’établir la diagonale qui réunit toutes les positions et cela ne peut pas se tirer comme une tangente notionnelle ou conceptuelle, puisque ces positions ne sont pas des « idées » mais des intentions, des intentionnalités ; croire que l’on échappe à la catégorisation rationnelle parce que l’on emploie le réel qu’est le Sujet, est absurde ; la cohérence des concepts, de la métaphysique ou hégélienne est remplacée par la cohérence des sujets intentionnels, qui naviguent et parcourent la surface du réel, cad du possible ; il existe un, des quantités de sujets et il n’y a aucune raison qu’on ne puisse pas les saisir dans leur mouvement ; c’est ce que l’on fait depuis au moins Descartes … Ou plus exactement les systèmes , grecs, étaient déjà des sujets mais avec Descartes il se dit « je » et ce « je » est plus objectif que toutes les représentations qu’il pourra former ; il en est l’origine et donc il est plus grand qu’elles toutes.
C’est également ce qui fut mené très sérieusement par Sartre et Lacan, qui incarnent littéralement ce qui pour Husserl semblait encore abstrait et relevant de la Vérité ; cad d’une énonciation supposément idéaliste rationnelle. Il suffisait de basculer dans le réel, le je actuellement assuré (dans un Etat structurel, ayant imposé la liberté et l’égalité et ayant au moins à sa disposition toutes ou suffisamment d’objectivités, de sciences, d’idéologies réelles, et toutes ces altérisations que sont la psychanalyse, le marxisme, structuralisme, qui basculent incessamment notre regard d’un autre côté, de même que l’image, mentale de soi est renversée par le déploiement des médias, du roman ou du surréalisme, ou des ésotérismes, des esthétiques et poétiques, etc).
Comme Sartre et Lacan prennent le simple jeté-là de l’arc de conscience ils affrontent toutes les situations et le corps même comme portant, supportant cet arc. Il n’y a d’arc que d’un corps et il faut être entouré, assuré de liberté et d’égalité, pour accéder à ce corps-même tel que « là » ; sinon on l’engage dans les fourberies shakespeariennes de la liberté seule, ou dans ces sociétés humaines souvent moralisatrice (il faut bien « tenir » les libertés livrées à elles seules) ou du sensualisme et de l’abstraction objective sur les sensations et les perceptions et le cognitivisme et autres curiosités mais non conclusives (qui examinent la subjectivité au sens objectif pour ainsi dire), ou les étroitesses de l’égalité introuvable, tentant d’animer la notion vide de l’homme générique, du besoin, ou de la « vérité » sans sujet ; les deux aplaties et non pas actives.
Et donc « intentionnalité » prend soudainement un autre sens. Ça n’est plus le sens alloué par Husserl ; il y a un retournement qui n’indique plus la pensée (ou ce qui restait de la pensée telle que comprise par Husserl), mais le corps. Et ce pour la raison fort simple mais extrêmement difficile qu’une « conscience » ne s’utilise pas préférentiellement pour penser mais pour percevoir et que dès lors se pose la question : à quoi cela sert-il ? De percevoir, et de percevoir sur-activement (ça n’est ni une perception selon le vivant, ni selon la mise en forme culturelle d’un groupe plus ou moins clos, c’est une perception dite historiquement selon l’acculturation, qui instancie chacun comme centre d’une expérimentation des réalités, des mondes, des choses mais aussi des autres et du réel même, de sa structure, dont chaque je est au fait) et donc de non pas seulement juger mais orienter, moduler cette autre surface qui vient se couler sur le corps donné là, celui d’un vivant, et qui le porte tellement plus loin que ce corps est désarticulé dans l’articulation qu’un champ de conscience lui impose ; de l’externe selon le réel « là ».
Et cette extériorité n’est pas celle du monde, mais l’exposition maximale ; nous donnons sur le présent, sur ce qui, activiste, tisse la trame des réalités et qui n’est pas lui-même une réalité. Il nous est offert d’éprouver au moins une version du réel pur et brut, soit donc l’articulation présent/arc de conscience dans ce présent ; et cela seul peut nous permettre de remonter jusqu’à ce que hypothétiquement on peut nommer « sujet » et dont l’arc présent/conscience est probablement un des effets, en tout cas celui là seul que l’on constate. Rappelons qu’antérieurement à dieu on n’imaginait pas cette structure, de même antérieurement à la pensée, l’être et l’universel, pareillement avant le christique ou le sujet, de telles structures étaient non imaginables. L’invention ontologique est fondamentale ; c’est le réel qui se crée, se délimite à nouveau frais, dessine son visage, élabore la structure du miroir du bout du monde, et les réalités suivent.
Ce qu’il faut retenir c’est la relativité, si l’on peut dire, de la structure ontologique qui non pas relativise les positions, mais au contraire les affirme comme totalement valides, légitimes, réelles et actives ; relativisme au sens où les parcours, les trajets manifestent le possible structurel, comprenons que le centre, le réel-même, n’est pas défini et que les flèches qui en partent créent le Bord lui-même du centre.
Si il l’était ce ne serait qu’une partie du monde ou encore un double-monde ou bien un sur-monde concentrant la réalité (tout ce dont on ne sait pas quoi faire en somme). Son indéfinition est son mouvement et de même que l’on ne peut pas philosopher sans penser ou croire au christique sans entrer dans la conversion, la dimension de l’articulation ne s’ouvre pas sans s’y « décider » de cette manière encore étrange et inconnue (dont la grâce christique est signe, ça vient il faut la prendre avec-soi). Mais l’altérité, par ex l’auto-affirmation nietzschéenne qui bouleverse tant d’adolescents et les autres, ou l’existence de Sartre, sont aussi des points de vue, ou plutôt des points obtenus par les avancées de l’articulation présent-conscience. Ce que l’on doit dire c’est que cette articulation use des signes (et donc du monde, en l’occurrence nous) afin de déplier ses possibilités ; et si l’on s’étonne de la pluralité (qui n’est pas une multiplicité, réservée à la détermination) pluralité des versions ou des positions de sujet, c’est que l’on a affaire à la structure réelle du réel, cad à la Possibilité même (qui est cela qui devient, strictement parlant), laquelle possibilité consiste justement à s’inventer.
Si l’on se demande quel exemple pour manifester cette invention on pourra prendre dieu, le un tout autre, le christique et son corps, l’être et l’universel, le sujet et le monde, la structure (Sartre, Lacan) et l’exister ; puisque la structure (du réel) est au centre, et que c’est le devenir de cette structure qui est en cause (qui est la Cause et l’Effet) et qu’elle est indescriptible et ne peut pas être signifiée (puisque c’est elle qui signifie), alors tous les devenirs sont des possibilités. La structure cherche à connaitre, éprouver, réaliser, expérimenter, poursuivre aussi loin qu’il se peut sa potentialité ; exemple déjà exposé, la liberté est un ajout absolu et formel, mais la liberté et l’égalité est une plus grande périodicité encore, un plus grand possible en ceci que l’égalité pousse la liberté à s’étendre et à introduire une seconde logique dans sa destination ; une contrainte qui ne nie pas la liberté (même si a priori c’est le cas), et qui a posteriori démultipliant les libertés ajoute à nouveau et en plus.
De même si l’on prend la moralité ; celle que voulut instituer le christique et donc maintes fois il fut moqué ; pareillement pour Platon ; sans cette moralité ou les Idées ce qui doit apparaitre, peut apparaitre n’apparait pas… C’est seulement une fois acquises les idées ou la moralité que l’on pourra les critiquer et donc ajouter aux Idées des idées et à la moralité des moralités différentes. Or pourtant il sera impossible de contredire telle ou telle position ; il ne sera possible que d’y ajouter une autre, en plus. Sitôt les mondes particuliers abandonnés (qui coagulaient forme et contenu, le monde est le langage est la parole), et dès que la forme apparait dans le donné (non comme contenu mais comme signifiant) alors il faut embrayer sur et par la forme seule ; or adopter la forme (et on peut dire que l’on est appelé par la forme, comme la grâce du dieu via le christ ou comme la pensée par l’universel) c’est accélérer (ou augmenter par les grecs, la pensée est du langage accéléré).
Etant accéléré le rythme de conscience non seulement ouvre quantité de possibilités mais puise dans l’expérience (et non plus la transmission) ; penser selon l’être ou expérimenter selon la science (au 15éme siècle) c’est la même activité ; puiser à même le réel tel qu’actuel ou actualisé. C’est parce que l’on est sorti des mondes (clos qui s’autovalidaient pour ainsi dire dans le groupe humain et sa perception de monde) que l’on accède au réel tel que donné « là » (l’être des grecs ou l’existence au 20éme ou le monde-étendue de Descartes ou le champ phénoménal de Kant etc). Et ceci à partir du sujet qui se nomme et se signifie et doit dresser le réel de son intervention ; pourquoi existe-t-il un être tel qu’il perçoit au sens apparemment indéfini et exige dans l’actualité de résoudre la réalité (dieu ou la pensée ou le sujet) ? La plus grande difficulté incompréhensible sous le registre de l’objet est précisément qu’un sujet ça ne rentre pas dans l’objet. Et l’inquiétude quant au « sujet », à « cela qu’il veut vraiment », est l’appel incompréhensible du christ ou le surcroit nietzschéen ou le corps lacanien.
On a vu que, dans le réel, la philosophie n’a jamais parié sur la platitude de l’objet ; même les grecs, l’être, le bien, le moteur, le un ça s’enroule, ça n’ « est » pas. C’est seulement vu de l’extérieur (d’un point non philosophique du monde) qu’on prend l’être pour l’être-mou-solidifié-chosiste. Ce sur quoi enquête la philosophie on l’a dit, c’est l’articulation ; usant tant et plus de « mots » pour délimiter des signifiants, qui ne s’adressent qu’à l’instance qui les reçoit ; à savoir les sujets, les arcs de conscience. Et si l’objet et son registre paraissent objectifs (ce qui est vrai, mais non constant, ni continuel, les concepts de science ne cessent de se modifier) ils n’existent que dans l’articulation et ce que la pensée, celle réelle, celle qui a effectivement eu lieu, dessine c’est de montrer (à tout arc) le mouvement d’articulation, parce que le concept (vivant, entendons existant) de la liberté (par ex) est le plus grand ; lui seul permet d’énoncer les intentionnalisations. C’est le signe qui est suivi et c’est lui que l’on poursuit et si on étend ainsi la liberté c’est qu’elle autorise d’entreprendre, d’entamer la réalité, les réalités (comme l’on dit depuis Kant) et d’organiser le sujet ; depuis que l’on a supposé sur le devant de la scène non plus le monde (relevant d’une auto révélation du groupe) mais la structure (qui pose en l’externe toutes les représentations et toutes les activités et les contenus) tout contenu, mot, idée, activité sont des signes de.
Nous n’avons pas créé une société dite de production-consommation afin de consommer et de produire mais bien parce que par là un autre-signifiant se manifeste. Et évidemment il est bien plus ample et fondamental que l‘ensemble des petites actions, décisions, images et imaginations qui peuplent le monde empli de l’humanisation et de la personnalisation. Il traduit (et c’est pour cela qu’il désire constamment « se voir » lui-même) une totale extériorisation dont l’effet est de nous laisser vides et sans rien, soit donc un immense détachement dont nous préserve uniquement, exclusivement le nécessitarisme entretenu et le recyclage assourdissant des mêmes images, des mêmes désirs sous l’apparente diversité et le faux renouvellement ; si nos désirs n’étaient pas renouvelés artificiellement (renouvellement qui épuise nos fantasmes, cad l’irréalité qui couvre la réalité et nous jette bien que nous le sachions pas dans l’altérité surfacielle du réel seul) nous basculerions dans la forme (du réel). Ce qui arrive effectivement à quantité de sujets, dépressions ou extases ou exposition à l’altérité (la cruauté) du réel brut.
Il est clair que la multiplicité des images et désirs c’est cela même qui anéantit l’intention, la conviction, la décision. Aucune suite n’est donnée à rien. Ce qui est démantibulé c’est la construction même de l’attention ; l’attention, l’acte de conscience de, étant ce qui inaugure tout (et qui réclame une architecture de l’attention elle-même avant même les stratégies de l’intention ou de l’intentionnalité) rien n’est possible sans le champ intentionnel qui permet de cartographier les réalités selon les signes et autour des signes (les signes, le langage une fois énoncé permettent de percevoir « autour » de l’énonciation, il est bien évident que l’on ne se limite pas à ce qui consciemment est énoncé, on perçoit en plus et en plus parce que l’on signifie telle chose, tel data, telle situation, le langage permet de rebondir).
Si le christique expose clairement l’intention (le regard), la conviction (la foi), la décision (le pardon) qui est extrêmement complexe, puisque l’on passe de l’énoncé à l’énonciateur qui remet toujours l’énoncé lui-même et permet seul de creuser non pas l’énoncé (système grec) mais l’intentionnalité ; et l’intentionnalité « ça n’a pas de fin » ; c’est le mouvement même, le réel, l’exister, le présent, antérieur à toute pensée évidemment, à tout vécu et à toute perception ; on ne peut pas échapper au mécanisme du réel, puisqu’il existe au sens de « préexister à lui-même » ; on est déjà « vu », et l’on existe de et par ce pré-regard ; que l’on peut situer soi-même comme étant le christ ou Descartes ou Rimbaud ou tel ou tel réel, au sens de s’auto-conditionner, dont les pouvoirs, le monde, veulent à tout prix commanditer la prégnance, mais que chacun va supposer quelque part dans son propre vécu, va créer le pseudo-regard qui l’a créé … et il le recevra comme Autre, alors que c’est la mouvance absolue, formelle, de l’intentionnalité qui lui échappe au sens où de ce fait il lui permet, par son altérité, d’échapper au monde ; c’est cela qui est instancié ; on ne sait « où » l’on est né et ainsi on n’appartient à aucune partie du monde ou du vécu (et on pourra renaitre en christ ou Plotin ou Nietzsche, qui simuleront la même pré-naissance pour ainsi dire mais cette fois actée) ; la pré-supposition de soi, qui est éprouvée et non pas énoncée, c’est cela qui permet la liberté de structure ; énoncé ou causé le je appartiendrait au monde ou à nous-même comme partie du monde On voit encore par ceci l’étrange naissance exogène de l’intentionnalité (ce qui est le sens même de l’enquête psychanalytique ou sartrienne) elle nait de et par l’altérité, de dieu, du christ, de la pensée, du sujet, de la révolution (dont on ne sait pas ce qu’elle veut, en vérité) ; elle est structurellement Autre.
Aussi s’emprunte-t-elle, la structure, comme divine ou surdivine (ou poétique ou existentielle, etc) et à ce point fondamentale qu’elle puisse imposer, ben avant tout monde humain, ses propres registres, comme celui de la vérité ou de la liberté, qui organisent, ensuite, la totalité du possible humain ; puisque entrant dans la dimension nous naissons réellement de l’altérité, ce qui signifie que l’altérité est originelle et si elle est originelle alors tout est engendré de l’altérité, de la forme, de la distinction ; la transcendance est le réel formel, l’antériorité qui ne cesse pas, ce qui accompagne continument toute articulation et cela qui nous est donnée (qui est notre Cause, sans quoi il n’est pas d’humanité ou de personnalité, pour le dire) le don pré-existant se prête pour nous comme présent/arc de conscience dans ce présent, sur l’autre-surface du corps.