Les horizons
Dieu, la pensée (grecque), le corps (christique), le cogito (cartésien) formulent, délimitent, permettent Prise de conscience de la réalité telle quelle.
À savoir que l’on ne reçoit pas le donné tel quel (du sacré, du langage, du groupe, de la tradition) mais nous créons les contenus (il se trouve juste qu’au début il faut que ce soit une création collective, de sorte que le groupe survive et que chacun comprenne immédiatement le-même-monde, ce faisant tous les mondes humains créés sont séparés et ne communiquent pas).
On passe donc au second niveau, y compris niveau de difficulté, en positionnant l’intention créatrice, la systématisation des intentionnalisations (les idées), l’incorporation, individuelle, de cette intentionnalisation (en un corps au moins ; le christ ; il en suffit d’un seul, qui sera de fait le un-tout-seul, abandonné, mais exemplaire et exemplairement hors du monde, cad également hors de tout monde).
Dieu comme Intention, la pensée comme déploiement des intentionnalisations possibles dans le monde donné, le christique comme regard incarné en et dans le corps vivant lui-même, le sujet (Descartes, Kant, Hegel) comme actualisation ici même, dans le monde, de l’intention (autrefois réservée, mise en réserve en dieu seul, délégué à tous par le christique et récupéré par chacun par Descartes et ensuite la révolution).
De sorte que si autrefois le groupe humain pensait (collectivement dans une représentation, parole, échange partagés) cette fois il faut resserrer et donc préciser, ajouter de la distinction et donc des possibilités en tout et partout et par tous et pour et par chacun ; de sorte que le niveau de complexité, le degré d’organisation du flux intentionnel qui dépend dès lors de lui-même, de sa volonté, et plus que de sa volonté de son intention, de la menée de son existence toute entière, cette méta-organisation donc pour avancer a dû et doit encore se connaître, se percevoir, se prévoir, soit donc entrer dans son propre champ, ce qui est tout à fait logique puisque c’est ce champ lui-même qui se produisant face à soi peut se prévisualiser, s’imaginer, se décrire, se parler, se partager à partir de l’expérimentation multi-azimuts de l’intentionnalité initiale (dieu), augmentée (pensée), incarnée et donc intensifiée (christique), accéléré (Descartes et suivants), et finalement concrétisé ; révolution de l’équation liberté-égalité-fraternité, puis ajout dans cet humanisme universaliste, de la personnalisation, du 20éme siècle, qui renvoie cette humanisation à chacun dans son moi-même propre, et sans lequel mouvement interne l’humanisation n’a pas de point d’impact, lequel peut n’être qu’individuel ; parce que l’on n’impose pas d’en haut la réflexion, mais elle doit ou airait dû naître en chacun, années soixante, entre autres, syndicalisme, mass et puis surtout micro médiatisation, qui va chercher chacun en tant qu’un là où il est, et qui est fondamentalement un mouvement mobile « infini », internet.
Bref tout l’ensemble converge en cette actualisation de toute la possibilité ; et ce qui est tenu pour « la possibilité » c’est le possible même. Au sens non pas vague, mais très exact bien que sinueux (puisque le rapport ne peut pas apparaître tel quel dans l’énonciation, l’image ou l’idée ou les signes ; seul une conscience peut intuitionner l’acte de conscience ; le signifié des signifiants n’est saisi que par le rapport qui installe tous les signifiants).
La révolution rend accessible à chacun que chacun soit à lui-même sa finalité, mais aussi que chacun ait en sa propre vue la vision de l’ensemble des sujets (nommé alors « nation », on meurt et on vit non plus pour le roi mais pour la nation, cad les autres sujets ; c’est en ce sens que la nation fut inventée et créée dès l’abord pour les juifs et Israël, dieu fonde cette unité nationale de la volonté, puisque dieu est, littéralement, l’intention initiale, celle qui n’est que cela l’Intention qui donc étant absolument formelle, est la forme singulière qui ne contient que soi mais ne contenant que soi elle contient tous, cad tout le possible, dieu est hors du monde, qu’il a, donc, créé, et ceci se désigne non comme sacré, qui réserverait une partie du monde, mais le divin qui se tient hors du monde, de même que le christique imposera que chacun se perçoit lui-même à partir de la fin de sa vie, initiant alors que le sujet est séparément du segment naissance-mort).
L’œuvre s’étend à tout le donné accessible (le rapport est attiré ou attire tous les rapports ; il sait, intimement, que tous les rapports ne lui sont pas exprimés, et donc il les recherche, il recherche l’extime, ce qui veut dire le plus intime ; non pour qu’il soit perçu, comme de l’extérieur, mais afin qu’il soit le point, plié, qui déplie tous les rapports possibles, au moins accessibles ; ce qui ne veut pas dire tous les rapports absolument parlant) et veut en obtenir le Bord délimité, mais cette délimitation si elle échappe aux contenus exprimés, est sensible à la conscience lectrice.
Le procédé consiste à vider le je de tout contenu, de sorte qu’il ne peut s’identifier qu’à un être qui n’est pas un être (le regard du christ par ex, d’autant plus autre qu’il est « parti », le sujet supposé qui ne vient pas dans le monde et écarte toutes les certitudes, le sujet transcendantal qui existe « sous » la phénoménalité, y compris la sienne propre, ou le génie rimbaldien, dégagement rêvé, etc) ou donc existe comme un cadre formel ; ou donc, en conséquence, un je offert à la multiplicité, pluralité, richesse des contenus divers disponibles (et depuis le 20éme imposés, la profusion des contenus, des signes, images et évidemment objets déployés industriellement, mass et puis micro médiatiquement). Le vide formel est ou a pour effets (innombrables) la multiplicité des choix et des inventions, mais auxquels on ne « croira » pas … puisque l’on sait en être l’origine, la cause (et non une causalité sacrée) ; aussi le divin (qui n’est pas le sacré mais existe séparément) est-il requis et appelé, comme méta qui signifie non pas le donné ou l’invention ou la richesse des contenus, mais l’assurance du sujet ; de même que le sujet, cartésien (celui que Descartes invente ou découvre ou décrit, et dont il n’est pas le seul existant mais celui qui en rend compte), que ce sujet donc s’instancie en quantité de sujets ; la forme est unique, le déploiement est indéfini en nombre ; suivant en cela qu’il est Le Rapport qui crée des rapports, tout comme dieu, le regard christique, la révolution ou la pensée quantité de systèmes.
C’est ce à quoi s’emploie la philosophie depuis le début et sous diverses variantes, puisque la « philosophie » n’est pas une doctrine, ni un corps de doctrines, mais l’analyse de ce qui, justement, est arrivé à l’humain lorsqu’il se rend compte qu’il ne dépend pas d’un contenu (reçu des dieux, du monde sacré, du groupe) mais d’une activité, ici même, et dont l’ici même sera précisément analysé, remonté du donné là au « là » du donné ; à la mise en avant divine, métaphysique, ontologique ou historiciste, consistant à prendre conscience, faire passer du non-dit à l’exprimé, ce qui a, donc, pour conséquence, pour effets d’augmenter la capacité elle-même (et donc les possibles du monde, du vécu, du relationnel, du moi-même) mais aussi du je, dans la considération qu’il a de lui-même. Et étant un rapport ce qu’il a, la conception, l’image qu’il a de lui-même il l’est.
Ça ne dépend donc pas de l’être, mais de l’avoir ; signe qu’il s’agit absolument d’un rapport formel, qui doit se situer et dont la situation a posé énormément de problèmes ; si le rapport est l’être, la pensée, le un, qu’en est-il de la multiplicité, du donné là particulier, du chaos initial du cosmos ordonné ? Si la réalité est cette vie en ce monde, par où et pour quoi le divin existe-t-il qui vient dans cette réalité mais repart sur son point tout à fait autre (à partir duquel point la réalité sera recréée) ? Si le sujet n’apparaît en aucun contenu (tous sont mis en doute), où existe-t-il ? Et si il existe n’est-ce pas sur une autre face de la même réalité, une face nouménale et kantienne ? Si notre être est activité de conscience, en quoi une vie, une perception, une représentation en conviennent-ils ?
Que l’agent actif du réel (en l’humain) soit une forme pure (l’arc de conscience, ou l’intention de dieu, ou le regard christique, ou le sujet cartésien, kantien, hégélien, ou la révolution du nouveau statut de chacun et de tous), c’est ainsi que chacun se retrouve propulsé hors du champ, mais ce qui pourrait sembler cause de désespoir et sentiment de perte, est également ce par quoi l’on s’éprouve soi dans sa capacité d’affronter l’impossible.
Puisque l’arc de conscience ou l’intention est hors champ ; elle crée lesdits champs.
Cette capacité d’instruire le monde, mais aussi le donné (les sciences), les vies vécues ou le relationnel humain et personnel, et donc le moi dans son image de lui-même, dans sa synthèse en tant que bricolage d’un côté (qui prend racine dans la coupure, la division qui crée le moi) et de l’autre le sujet, l’unité source de toute valeur parce que de toute possibilité ; le champ intentionnel (et l’humanisation, universelle, et la personnalisation planétaire sont d’immenses champs intentionnels) est bien plus grand que ce que la philosophie nommait la connaissance, le discours, la pensée ou le savoir. C’est non seulement un champ massif, parmi d’autres, qui s’est produit, mais c’est le champ lui-même, unique et ouvert sur et par la liberté, ce qui veut dire la possibilité ; la liberté qui ne veut pas dire « on peut faire ce que l’on veut » mais « tout ce que l’on veut augmente la liberté, ou l’on périt ». ce qui veut dire que l’on retourne dans un monde, dans un vécu, dans un intérêt ou une immédiateté, et on finalise l’intentionnalité par telle ou telle petitesse, exiguïté, et à terme incapacité. Et sous l’apparence de suivre un intérêt bien consistant et concret, c’est le réel et la réalité qui se perdent.
Dans le mouvement général de la philosophie, la pensée, le discours rationalisant, qui est fondamental et sur lequel on ne peut pas céder, n’a cependant pas pour finalité de se replier sur lui-même, mais de penser, véritablement, ce qui est, le réel, le « là » du donné ; lequel n’est pas fait, constitué, composé de « pensée ». C’est bien pour cela que l’on a dépassé la métaphysique (depuis Descartes, Kant et Hegel, qui, ce dernier, absorbe toute la pensée précédente) en s’engageant dans l’évidence de la structure active du réel instantanément « là » ; soit donc quelque part uen redite de l’être (mais la pensée se connecte immédiatement au « là » du donné, qu’elle nomme l’être) ; nous sommes dans le savoir, le se-savoir de la structure parce que celle-ci est active et donc se-sait, étant la structure même du rapport-à-soi ; le réel est universellement rapport-à-soi.
D’une part comme exister qui expose une réalité manifestée à elle-même et donc déterminée (elle est déterminée parce qu’elle est rapport-à-soi ; déterminations signifient « qui se distinguent par différenciations », ce qui se nommait autrefois le fini). Et d’autre part comme « conscience » qui n’a aucune autre logique que celle-ci ; elle est cet être qui n’est pas un être, mais le rapport à soi comme rapport et non comme « quelque chose » ; une conscience se-sait et dispose les signes dans ce se-savoir, chaque signe étant lui-même un rapport, et la conscience le rapport des rapports. Par conséquent dans l’arc de conscience se manifeste le réel dans et comme rapport, mouvement, structure, devenir pur.
De même que l’exister réalise, rend réel, et pousse à la détermination toutes les réalités, de même l’arc de conscience est la précision fondamentale qui parvient à son actualisation en sa propre présence et de cette manière rend accessible le possible au possible lui-même. Suivant en cela que par l’exister et par l’arc de conscience le possible se rendant accessible à lui-même, non seulement « se réalise » ce qui est la moindre des choses, mais il lui est possible de modifier le possible par le possible lui-même, puisqu’il existe en sa propre présence et peut ainsi se perfectionner ; il ne perfectionne pas quelque chose qui préexisterait, ni ne désire quelque réel déjà parfait (à quoi servirait une réalité ?
Le discours, comme idéal philosophique, saura donc tirer les conséquences (ontologiques) de la description, augmentée, qui permet d’étendre l’attention ; de la mise en intentionnalités nouvelles (les idées grecques), de la mise en jeu individuelle (naissance-mort et donc existence de chacun par le christique), instanciation ici même de l’intention (cartésienne et suivants), effarante précision de l’analyse de la structure intentionnelle (de Husserl à Sartre) et découverte de la scission qui crée notre réalité (Lacan). Soit donc une description recherchant la cohérence et qui, on l’a vu, place et déplace au fur et à mesure la ligne du réel tout au long du Bord du monde, du vécu ou du relationnel, de la perception et du corps. De manière à dresser la cartographie la plus exacte possible de cette découpe dont l’arc de conscience, étant un rapport, est en mesure de signifier ; ouvrant à chaque conscience la capacité de percevoir cette ligne du réel, en lui-même, parmi les autres, dans le monde et selon l’activité ontologique qu’est le réel.
De même que parallèlement, depuis l’instanciation du sujet (par Descartes et d’autres Galilée par ex, qui prévoient tous deux une connaissance mathématisable de la réalité), il y eut quantité d’analyses des déterminations, des causalités ; si l’activité libre d’un sujet est originelle (relevant de l’ontologie actuelle et non plus de la métaphysique) on passe outre les idées,notions, essences des choses, universaux et on commence d’entrevoir que la philosophie est bien plus étendue qu’il ne paraissait.
Il est cela même qui se perfectionne ; qu’il y ait à chaque fois et en chaque tour du réel un plus grand possible. Ainsi la réalité est engagée par et dans le réel, la structure dans et par le structuré, le transcendant contenant l’immanent ; il y a l’immanence afin que le transcendant s’atteigne lui-même et afin que cette atteinte soit plus grande, intensifiée, approfondie, de plus en plus distincte. Laquelle distinction ne peut pas s’obtenir sans se percevoir elle-même, sans se déployer, et sans qu’elle soit un rapport, ce qui veut dire un sujet.
L’approfondissement en question n’est évidemment pas selon le monde (destiné à la dispersion indéfinie, la décomposition du composé) mais l’approfondissement de l’exister ; de l’exister formel et non de l’être déterminé. Au travers de l’être par et pour l’exister. De la brutalité du début à la pureté du terme. De l’indistinction à la distinction d’une toujours plus grande précision, celle qui se travaille et se travaillera encore.
Aussi dans l’actualité, qui est l’activité même du réel, se décide la fin des temps toujours instantanément présente. Il n’existe qu’un seul instant, un seul rapport qui n’en finit pas de se perfectionner. Et chacun décide de son potentiel, de sa capacité, de son élévation.
Le transcendant est déjà intégré dans le donné, il est le ressort de l’immanence et on n’est jamais ce que l’on est, de même que la réalité est toujours suspendue, et n’est pas le réel ; le réel est le mouvement, et ce à quoi on confierait son accord (le « quelque chose » apparemment consistant, mais qui échappe toujours, que ce soit la « matérialité » ou la vie vécue, dont on voudrait nous faire accroire qu’elle est toute entière là cela seul qui compte), ce quelque chose est ontologiquement relatif ; l’être est relatif à l’exister et dépend de « ce qui est, fut, sera actualisé ».
C’est l’actualisation qui compte, et qui distribue et probablement redistribuera la réalité et les vies. La redistribution est interne à la réalité et à la vie (individuelle et collective). Et le réel dépend de la décision que l’on prend ; on reviendra sur la nature de cette « décision », qui évidemment se cristallise au bout d’une longue expérimentation, mise à l’épreuve, exploration, déchirement ou extase(s), champs de perception et champs d’expression.
Ou, dit autrement, des visions apparaissent dans la phénoménalité. Des signes, des possibilités, des intuitions de la réalité et de la vie possibles qui ne se sont concrétisées nulle part jusqu’alors mais qui pressent sur le Bord du monde ou du vécu ; ils pressent qui viennent d’en-avant, du présent issu du futur, de la capacité instanciée dans le présent et qui conduit, instruit, informe le présent ; qui sert à cela, que le réel vienne d’en avant.
Notre être, qui n’est pas un être mais un rapport, se-sait de cette manière cachée, sinueuse, rusée, retorse, et plus réellement encore divisé et splitté puisque c’est un rapport ... Un rapport est dans l’interstice et ne se tient ni de l’un du début ni du terme qui suivra, et qui n’est que le début du prochain terme. Que l’on pourrait poursuivre indéfiniment (tout comme le désir remplace constamment ses objets si il se laisse aller, à seulement désirer). Aussi est-ce non les termes et les débuts mais le mouvement même qui est le théorétique, l’ontologie.
Faute ou erreur ou délire puisque sans cesse on prend le contenu (de conscience) pour cet arc de conscience-même. C’est le péché et le jugement, la faute et le pardon, l’erreur et la volonté (dont on se souviendra que Descartes luttait contre, fondamentalement et non pas accessoirement), l’égarement, le délire depuis que la foule existe (et n’est plus le peuple du bon roi), depuis que les mois s’agitent, atomisés, et que la folie s’est coagulée en leur attention, leur intention, leur conscience-même (la folie date de peu, son augmentation requérait l’invention de la psychiatrie, psychologie, psychanalyse, pharmacologie) ; la folie est en partie l’être collectif qui devient psychotique et le devenir concret du péché et de la faute et de l’erreur qui devient individuel.
À son niveau le plus universellement et extrême c’est le délire qu’exprime et manifeste et tente de résoudre Rimbaud, et dont il se mordra les doigts d’ici peu, mais dont il perçoit l’auto-destruction et qu’il saura tenir à distance, définitivement pour lui ; mais son « délire » s’élevait jusque tout en haut à partir du Bord complet de toute l’humanisation, de toute la personnalisation et de toute l’historicité. Il s’en libérera… préférera le monde et l’horizon. Mais c’est que Rimbaud a bel et bien saisi la structure absolue, cad formelle, du sujet ; toute sa poétique de la fin est envahie par l’affirmation du je magique et mystique et ontologique et grand architecte de son destin, affirmation de structure qui ne dépend plus, indépendante (et qui travaillera, en vain quasiment, à cette liberté entreprenariale pour ainsi dire), le destin imposé de sa certitude (celle tout aussi bien de Descartes ou imaginairement de Nietzsche). Rimbaud ne suivra pas la forme « mesquine » de Baudelaire (par ailleurs « Baudelaire est le premier voyant, roi des poètes, un vrai dieu »), dépressive et relativement perverse (qui aime le péché et le fourvoiement, qui n’a pas vu l’autre horizon de l’affirmation de soi, innocente mais tellement difficile), ni il ne s’abandonnera au néant et à la dispersion de perception de Mallarmé. Rimbaud est concerté en lui-même de par l’affirmation de l’utopie du je, qui s’extirpe avec force des griffes des enfers (différentes formes d’enfer), Rimbaud guerrier ou aventurier, un « lutteur » et il partit réellement pour d’autres horizons.