La (non) magie philosophique absolue
Le tour fût joué : d’installer, au cœur de l’humanisation, cette unité très spéciale qui dérive l’intégration, la recompose.
(Unité très spéciale qui se dévoile dans la représentation humaine en général, et explose lentement cette intégration humaine régulatrice. Intégration d’un donné, d’immédiatetés, de particularités dans une humanisation régulée hiérarchiquement et qui essaie de se penser, certes, mais sans connaitre ce qu’il en est de ce qu’une réelle intégration signifie cad qui non pas se pense mais se représente et se formalise ici et là sans que la pensée y soit systématiquement cohérente, cad se représente hors de cette unité forte que constitue l’esprit comme cohérent.)
Pourquoi existe-t-il une telle nécessité de se tenir, d’être causé par une cohérence et que signifie-t-elle ? Pourquoi cette unité spéciale qui nous est familière, fût-elle à ce point une rupture ?
Parce qu’elle ne l’est pas encore devenue… parce que nous vivons encore selon l’ancienne régulation, parce que lorsque le Donné se présente à nous, nous en appelons encore au Donné pour le résoudre ; parce que si ici et là il est bien de la réflexivité qui agit et pré organise, en fait, l’ensemble des déterminations qui nous touchent, relèvent encore de la pré ordonnance du donné comme centre de l’existence ; cad du Sens qui appellerait par son opération magique le Sens, ou la résolution de notre être.
L’unité très spéciale qui brise l’intégration humaine comme sens hiérarchique et régulation, vient perturber la totalité du Donné (appelant le donné comme Sens), parce qu’à une surface entièrement couverte de signes, elle oppose soudainement, ce corps absolument vide de signes, mais ayant Surface …
Ce qui se cache sous l’expression de cette Cohérence , qui brise, c’est donc la perception d’un corps dans un Monde indéfini, comme Surface absolue, cad la dernière. La Surface non culturelle.