Sens du mouvement, cad du présent
Lorsque l’on tombe dans le monde, on ne s’en relève pas, parce qu’il n’est de réalité que les réalités, les choses déterminées, tandis que le point de vue par lequel on les perçoit lui ne l’est pas, déterminé.
C’est dans l’indétermination absolue du point de vue, que se définit la philosophie, élaborant la description de ce lieu, unique, à partir duquel le reste apparait. Le reste apparait puisque la conscience est une structure intentionnelle et qu’elle crée le champ de perception adéquat. On perçoit dans la dynamique d’une re-construction du donné là ; de sorte que l’on ne reçoit pas les datas, ou plutôt on ne perçoit les datas que dans le champ significatif d’une reconstruction ; le lien global est évidemment le langage, mais le langage en tant qu’il est lui-même séries de rapports (cad de signes ; ce qui fait signe c’est le rapport et le rapport premier et dernier (entre lesquels les autres rapports, signes, existent) c’est l’arc de l’horizon tel qu’il se crée d’une intentionnalité de conscience ; laquelle se lance à partir du corps.
Si l’on n’affecte pas l’arc de conscience à un horizon, on le perd dans les séries en nombre indéfini, d’intentionnalité, espérant, la plupart du temps, que les intentionnalités révèlent un contenu supra sensible, une idée, une substantialité qui fixerait l’intentionnel ; ce qui n’arrive jamais ; tout contenu est pris-dans l’arc de l’intention et celui-ci en s’adresse pas du tout à un super contenu ou une finalité intérieure, mais bel et bien à l’horizon tel que donné là. Par exemple la psychanalyse nous convainc que l’intentionnel ne dépasse jamais le corps ; tout ce que l’on croit quant au moi que l’on est, par ailleurs, revient au corps, mais évidemment un corps-autre, une autre-surface du corps ; c’est parce que l’on écrit, par des signes, sur le corps que celui-ci est pris-dans le champ de conscience ; mais si l’organisationnel, l’organisé de ces signes, est effectivement la consistance, l’apparaitre (une consistance qui est effectivement matériellement dans le corps, jusqu’au physiologique), tout signe reste et demeure pris dans ce que l’arc de conscience crée, et cette création est n’est pas close ; la psychanalyse tend à valider la clôture de notre être (sous la forme du moi, on y reviendra), et donc à nier la liberté et le champ nommé autrefois spirituel ou idéel ou intérieur ou de création, mais en fait il ne faut pas inverser les raisons ; c’est parce qu’il existe un champ perceptif qu’il existe un langage et il existe un champ perceptif parce qu’il existe un arc de conscience qui sort, littéralement, de la cervelle vers-le-monde et re-vient vers le corps.
Si l’on affecte l’arc de conscience au corps, on institue ce corps comme horizon, mais on cesse de situer l’horizon du réel (le réel devient l‘impossible de Lacan, tout cela est très cohérent). Or de fait un horizon réellement existe et on le sait ; on le voit c’est l’horizon qui délimite toute réalité (que ce soit le bord du monde ou le bord de l’univers) ; et la question est qu’est-ce que l’on instancie comme Bord définitif ; on propose ici que ce bord (de tout) soit le présent. On peut bien définir ceci ou cela comme horizon (et il est vrai que le corps est un horizon bien spécifique et en soi infini ; on rappellera que tout être vivant se signale de ce qu’il existe un intérieur et un extérieur, via l’unité de chaque vivant, ou la peau, la sensation du propre), mais l’arc de conscience, de sa capacité indéfinie, seul peut situer l’horizon premier et dernier ; qu’un réel il y a.
Il a conscience non seulement de lui-même comme conscience (comme rapport du rapport même), mais de ce fait il peut se rapporter au donné tel que « là » ; non seulement qu’il existe l’être et qu’il existe le néant, comme on disait autrefois, mais étant rapport purement vide, cad formel, il connait-déjà l’altérité. Il est déjà-autre, et comme cette altérité est sue selon la structure formelle, il ne sait pas l’identifier … puisqu’elle n’a aucune identité dans le monde. Ce qui revient à dire que l’expérimentation de la structure est en elle-même, cette expérimentation, une intuition strictement formelle ; il n’y en a aucune correspondance, et même, si l’on se fie à l’hypothèse, cette intuition du formel est toujours-déjà cela à partir de quoi on perçoit le reste et même on ne perçoit réellement que cela, que la forme seule, de sorte que tout le reste nous semble épouvantablement étranger.
Ou si l’on préfère tout le reste se situe dans l’arc de conscience, dans l’horizon réel que seul l’arc appuie et cet horizon n’est nullement idéel ou spirituel ou intentionnel au sens de Kant ou de Husserl, mais est cet-horizon-là ; l’horizon réel donné « là », le présent, le présent est le Bord immédiatement selon le temps et est l’exister instantanément selon la structure, le Bord de toute réalité. Ce qui ne se borne pas à simplement dessiner qu’effectivement il existe un horizon, mais que cet arc-dans-l’horizon est articulé, et tendu, comme un ressort. Étant entendu que le réel est précisément ce qui doit rendre possible une structure dans la structure. L’objectivité, que l’on doit qualifier de structurelle, soit donc celle qui se déplie depuis la méditerranée, et qui ne se trompe jamais ; en ceci qu’elle indique à chaque fois le nord ; lorsqu’elle use de l’être, du christique, du sujet, de l’altérité, et comme elle ne correspond à rien qui soit du monde, il lui faut pour se tenir par-dessus n’admettre que la structure du réel ; et c’est cela qui se voit via les idées, qui confinent à la pensée de la pensée ou au Un, au sujet qui nous vient du regard de cet Autre qu’est le christique, ou qui intègre l’altérité du regard jeté sur soi cartésien (et positionné par Descartes comme autre que nous-même, nous nous situons sur l’étendue du monde et il nous est possible alors de rassembler toutes les positions, hégéliennement et de visualiser notre position propre dans le monde, kantien) ; ces descriptions sont les comptes rendus de cette exploration par laquelle nous nous tenons de plus en plus sur le Bord ; le Bord est amené à être de plus en plus précisément localisé (en dernier lieu selon le corps lacanien, la conscience sartrienne, le présent ontologique, cad l’exister plus grand que l’être).
Il apparait que ceci constitue la mystique, la mystique, de l’occidentalisation qui analyse la pointure dans le réel entre notre « être » et la réalité ; par quoi il apparait, donc, que notre être est une structure (un mouvement, un rapport) et que la forme du monde, du donné là, des réalités, est le présent (de là qu’il soit impossible de trouver Une Réalité qui les résumerait toutes ; le Un des réalités n’est pas une réalité ou un être des êtres, mais est une forme et cette forme est absolument ; elle est le présent qui « entoure » toutes les réalités ; ou comme dit ici, le présent comme forme de tout ce qui est ; et cela veut dire que ce présent est peut-être une dimension, cad que le présent se continue peut-être « en plus » ; et de cet en-plus nous ne disposons que de ce présent comme acte ou arc réel (notre conscience étant elle-même prise dans le présent et son actualité brute).
On a donc quitter totalement le champ limité de la « raison » puisque de fait elle n’a jamais été qu’un moyen ; le moyen de tenir et de ne pas lâcher la structure dans son champ bien plus vaste ; si Kant ou Hegel ou Nietzsche ou h essaient de penser l’esthétique, le poétique, l’historicité, c’est parce qu’ils commencent de disposer d’une bien plus grande capacité d’expérience et de relativisation de notre « être » (depuis Descartes qui origine autrement la pensée, dans une structure et plantée sur une « étendue » qui deviendra l’altérité de N H S et Lacan, mais aussi de l’étendue comme monde et historicité marxiste, ou comme naturalité scientifique mathématisable, etc).
La réintroduction des expérimentations (esthétiques, poétiques, éthiques, politiques, humanisations et personnalisations, sujets et corps) dans le champ de la pensée, veut dire que la pensée n’est plus réflexivité métaphysique seulement (visant à organiser un discours qui rend compte de l’être comme, supposément, système), mais est réflexivité ontologique et qui a commencé depuis longtemps, cartographié son champ de plus en plus complet (jusqu’au corps de Lacan). C’est simple si l’on se fie à ce que l’on voit, le Un ou l’être s’imposent comme « objets » mais si on s’en détache le Un ou l’être se proposent comme limites et limites qui re-viennent vers nous ; et c’est ce retour qui est réellement pensé.
Et comme il est LE retour c’est effectivement lui qui est permet de penser les réalités. C’est parce que l’on tient le bon bout que l’on étend l’intentionnalité comme intentionnalisations cad comme universel et universalités, catégories, mathématisations, et surtout comme perspective unique qui regarde, perçoit, décide, imagine ; il est le retour puisqu’il est le re-tour, le nouveau tour, ce qui puise dans l’indétermination maintenue pour renouveler toutes les possibilités ; et comme tel il ne construit pas une vision, un monde humain en plus des autres mondes humains, mais atteint la base même de tous les mondes soit donc le monde tel que donné « là » ; pareillement il ne couvre pas le corps d’un entrelacs de signes, mais amène à lui le corps donné, le vécu le plus immédiat et surtout il doit créer, inventer, déployer les possibilités du moi ; du moi comme invention, puisqu’auparavant on disposait d’un rôle (homme/femme, esclave/libre, patricien/plèbe, etc) et sans doute existait-il des héros, mais non pas que chacun soit le héros de sa propre vie ; il fallut le christique pour que chacun soit appelé à exister à ses propres yeux ou plus exactement au regard de celui-là-qui-seul-ex-siste et vous tire hors de la matérialité ou des intentionnalités déjà emprisonnées dans les parties du monde ou les signes de l’ordre du groupe.
C’est ainsi tout une réalisation humaine et humaniste et universelle et individuelle, personnalisée, personnalisable fut rendue possible ; afin que chaque corps soit aussi réellement distinct et tout-autre ; et que s’éprouve ce qui se révèle par ex par Heidegger ou Kierkegaard ou Sartre ou Lacan (etc), à savoir le creuset individué que signe la structure ; chaque structure de conscience est parfaitement identique et parfaitement distincte de tout autre ; que la distinction soit alors numérique n’est pas une négativité ou un amoindrissement mais au contraire le parfait exemple (que l’on puisse connaitre) de ce que distinctivité qui gouverne la totalité du réel, signifie.
Comme la réflexivité n’a plus pour fin seulement d’ordonner le discours (passage de la métaphysique des idées, cad des intentionnalisations, vers l’ontologie de l’arc de conscience), alors la finalité de la réflexivité est d’organiser l’acte de conscience ; de mesurer et de signifier, de remplir de signes les tours et détours de cet arc. Il s’agit de poursuivre jusqu’aux extrêmes les lignes ontologiques possibles ; d’éprouver les zones étranges que dégage l’arc de conscience lorsqu’il maintient la puissante structure de l’indéterminé ; il est bien évident que constamment l’arc, qui est le réel, doit tenir dessous lui, les réalités, les perceptions (esthétiques par ex et au plus loin), les pensées et représentations (et acculturations), les vécus et le corps … De là que sans répit aucun il travaille les réalités ; il crée des acculturations (qui ne sont plus des mises en forme culturelles, des mises en forme de monde humain chaque fois particulières).
Cette continuité ne se voit que dans la perspective unique et réelle ; celle qui re-prend dieu, la pensée le christique, le sujet, l’altérité. Qui le reprend, serait-ce sous la négation.
Si le mouvement recélait un contenu, une détermination (sous la forme d’une super détermination ou d’une consistance imaginée ou raisonnée, des mathématiques par ex), il y aurait un monde dans le monde, un donné dans le donné ; or cela ne se peut. Donc dieu existe peut-être mais pas sous la forme d’une substance ou d’une consistance ; si il existe ce sera comme mouvement.
Ce qui veut dire que l’on ne retrouvera rien de ce que l’on connait et que le mouvement par delà sera la continuité de ce mouvement-çi. Une chose peut être remplacée par une chose mais le mouvement ne peut pas se substituer ; l’indéterminé est unique. Et puisqu’il nous rend tous un par un, l’unique est cela même qui existe. Le réel plus grand que lui-même, les infinis dans l’infini.
Aussi la structure recrée-t-elle la réalité ; sitôt qu’elle parait (cad se signifie pour quelques arcs de conscience d’abord) elle s’attaque au donné là ; chacun de ses pas soulèvera les réalités ; et lorsque l’on parvient aux mois, chaque moi est déchiqueté par la structure de sujet. si l’on veut la structure est ipso facto universelle, sauf que par « universel » on doit finalement entendre tout autrement que selon l’universel modal qui se situait dans le champ de conscience, sous-entendu « le champ de conscience est plus grand et plus réel » que l’universel, mais alors quel est-il ?
Il faut remarquer que l’on est, que l’on ex-siste ce champ tel quel et que l’on ignore « ce que » il est puisque justement il n’est pas ; on ne se contente pas de reprendre la phrase de Sartre « notre être est ce qu’il n’est pas, n’est pas ce qu’il est » ; on dit que Sartre a expérimenté exactement la Même structure de fait et pareillement jusqu’é Descartes (puisqu’avant Descartes l’intentionnalité ne se retournait pas sur son être « là » mais s’attachait soit à l’être universel, pensé, ou à dieu, comme regard, intentionnalité hyper-intentionnelle, tout comme la pensée grecque est surintentionnelle, par-dessus le groupe et le commun ; hyper-intentionnelle puisque l’on ignore les raisons, les causes, les idées que recèle dieu, tandis que la pensée grecque se doit d’expliciter les intentionnalités, les idées qui conduisent soit aux idées elles-mêmes, soit aux réalités perçues et par idées en elles-mêmes cela signifie « déplier les intentionnalités qui explicitent » qu’il y ait un être, au moins, qui pense et comment et pourquoi et pour quoi, autrement dit l’intentionnalisation en plus (du groupe) doit s’organiser et valoir en et par elle-même, qui sera, ensuite, reprise dans la description ontologique à partir de Descartes et existentielle jusqu’à Lacan). Et on ignore les pensées de dieu, c’est qu’il s’agit d’instaurer une tout autre unification ; celle intentionnelle qui préexiste aux représentations (toutes les représentations) et réclame l’on soit perçu, et perçus selon le renouvellement du groupe (le judaïsme) et l’apparition du corps (le christique). Tous se voient (comme une seule nation, d’une intentionnalité qui n’est pas dans le monde, qui a créé le monde mais veut ajouter au monde donné cela qui n’y est pas et dont il nous charge, ce qui est littéralement l’idée de nation, au lieu du chœur des volontés individuelles vers la volonté générale, il existe un seul, indéterminé, qui suscite ) mais via dieu seul, et chacun se voit mais via le christ, ils le voient (son corps crucifié) et ils sont vus (par celui qui crée leur âme dans la mesure où ils s’accordent au point extrême, celui par lequel on se voit mort, tout contenu vécu étant re-mis par l’intentionnel pur).
On voit donc que s’est engagé depuis longtemps ce qui, pour nous, semble à ce jour si « naturel », qu’il y ait humanisation et personnalisation et chacun son « moi » et son vécu, mais qui en fait a été construit et construit non sur des parties de monde, des déterminations, mais sur et par des tactiques formelles et des stratégies intentionnelles, exigeant que chacun se transforme sujet ; autrement dit comment organiser, gérer, planifier, prévoir ce que par vécu chacun attend ? Ceci pose si crument la possibilité même qu’il y ait un avenir de l’espèce humaine que finalement on doit présenter qu’effectivement il dépend de ce que vous attendez de la vie, qu’il y ait ou non un avenir de la planète.
Ce qui se juge c’est absolument, cad formellement, la forme de l’arc de votre conscience ; quelel valeur présentez-vous dans votre structure de conscience ?
On dira ceci ; il ne s’agit pas de croire en ceci ou cela (bouddha, jésus, l’esprit hégélien, le surdivin rimbaldien, la Volonté ou le sujet de Lacan), mais de croire en tout, puisqu’il n’existe qu’une seule forme de conscience (la forme est, existe indépendamment des contenus, on se demande pourquoi cela n’a pas frappé l’esprit de chacun, qu’il y ait mile milliards de contenus et une seule manière d’avoir conscience-de (que donc il existe une forme séparément de tout contenu, même si toute conscience est forcément signifiante ; croire que cette signifiance commandite la forme même qui demeure invariable dans toutes les variations, veut dire que la forme n’est pas atteinte par ses contenus ; c’est donc une pensée magique qui voudrait par ex que ceci soit « ma » conscience, la conscience fonctionnelle d’un être qui se rait « moi », alors que c’est la structure qui rend possible qu’un moi ou quelque autre, il y a) et elle existe indépendamment parce que précisément elle ex-siste ; l’exister est plus grand que l’être, l’indétermination formelle de l’exister est plus grande que tout monde, quel qu’il soit, que tout vécu, que tout corps).
En conséquence toutes les extensions de structure sont vraies ; puisqu’il ne s’agit nullement de télécharger (pour ainsi dire) un contenu adéquat mais d’activer cette structure çi qu’est votre conscience ; que vous en passiez par Bouddha ou par le Christ ou par Descartes ou qui vous voulez, l’important est l’activité elle-même (et donc sa sincérité, voir pour cela la qualité de « sincérité » hautement problématique, en ceci qu’il ne s’agit pas d’une volonté consciente, qui se fonde sur le contenu encore une fois) mais d’une intentionnalité en faisceaux et en réseau/réseaux, l’horizon intentionnel reculant sans cesse ; et pareillement, selon la même logique, il serait même préférable de suivre les lignes variantes, prenez l’exploration selon Bouddha, Rimbaud, Nietzsche, qui l’on voudra ; aucune des explorations ne peut épuiser l’arc lui-même ; l’arc arcbouté au présent, qui est l’exister plus grand que l’être, qui est (hypothétiquement) la Dimension (qui s’introduit dans le monde connu, cet univers, en tant que présent et comme une ouverture vers le réel au-delà qu’il re-présente ici même et qu’il crée, tisse, au fur et à mesure, le visage du Un se s’oriente et se désoriente, se plie et se déplie, sous nos yeux pour ainsi dire, au sens où notre regard même qu’il faut convertir et élever non dans la volonté seulement mais plus profondément dans l’intentionnalité, dans l’intentionnalisation comme processus.
Or le problème est que l’on ne peut convaincre l’intentionnalité de l’extérieur ; elle doit se convertir elle-même. Et ainsi il était inscrit que la responsabilité entière, non découpable, nous reviendrait ; ce que nous deviendrons nous jugera. Et si nous disparaissons, c’est de n’avoir pas su dresser la cartographie réelle de l’intentionnalité légitime, organisée, élevée, stratégique. Ne bref nous nous sommes laissés berner par la facilité ; au lieu de situer le centre du corps dans le champ perceptif comme structurel on a remis les clefs de notre esprit à la jouissance ‘supposée, imaginaire) du corps donné ; non sur la surface-autre du corps mais dans l’illusoire « mystère » de la profondeur jouissante, laquelle n’existe pas et est seulement imaginaire, soit donc l’image dans le miroir mais non le miroir lui-même.