Perception du Bout du monde
Ce faisant donc, et compte tenu de ce qui précède, on présente donc l'intégrale positivité du réel ; il n'y a rien, absolument rien, dans le réel qui soit négativement. Le réel est même cela qui redouble sa positivité (sinon elle serait immédiatement là et donc déjà disparaissante, donc elle re-vient, elle re-vient toujours à nouveau, au sens de « elle re-vient en-plus » d'elle-même). Cependant tout s'impose à nous selon une brutalité que personne ne peut nier ; le réel est un processus extrêmement brutal, voire absolument excessif.
De même le réel ne parviendra pas à une « réconciliation », un état d'assouvissement, et à une pseudo satisfaction ou béatitude, mais, étant mouvement, n'existe qu'en tant que mouvement ; le réel ex-siste. Il sort de lui-même afin d'avancer encore et toujours plus loin.
Aussi le devenir deviendra. C'est son but, sa finalité parce que c'est sa structure.
La question ; qu'est-ce qui deviendra ? On la reporte à plus tard.
Étant entendu que tout ce qui est de manière déterminée est en soi-même intégralement destiné à disparaître ; rien de ce qui est déterminé, cad limité, ne passe outre sa limitation. Donc soit on croit que le sens de tout est la disparition, totale, sans aucune mémoire de quoi que ce soit (pourquoi pas). Soit on commence d'envisager autrement.
On ajoutera ceci que la forme des réalités, la forme en laquelle les réalités sont, telles que prises dans le mouvement (du temps, et plus exactement du présent) qu'elle ait, cette forme, une dimension réelle surabondante ou non il n'empêche qu'elle ex-siste ainsi ; soit donc comme articulée. Il y a rien dans le monde, l'univers, les univers ou quelque réalité que ce soit qui passe outre l’articulation ; c'est parce qu'il y a articulation que sont les mondes, les réalités. Autrement dit pour «éprouver ce qui existe tel que cela existe (qu'il soit question d'une dimension ou non, valant en et par elle-même) il est explicite qu'elle doit être perçue, tout entière, sans un seul iota qui puisse y échapper, comme un mouvement, articulé ; le réel consiste en cette articulation (il n'y a pas quelque chose qui, ensuite, est articulé, mais articulation qui produit des effets, les quelques choses). Donc dans tous les cas, qu'il y ait dimension ou non, on obtiendra une description de ceci-qui-existe et tel qu'il existe.
Ce à quoi se confronte toutes les pensées, même celles qui se comprenaient comme métaphysiques ; au bout du compte (des réalités et de la réalité une et totale qui était supposer chapeauter toutes celles-là) devait se positionner un réel, tel un retour vers le donné, une reprise organisée des idées (le Bien, le moteur ou la pensée de la pensée, le Un) ou des systèmes (Hegel), ou du moi ou du monde (Descartes ou Kant).
Qui ne voit que la pensée de la pensée n'est pas, justement, de la pensée mais l'activité de conscience ? Qui prit nom d'intentionnalité 25 siècles plus tard. Mais si acte de conscience il y a, alors cet acte est le réel ; aucune pensée qui en est issue n'est supérieure, en rien, à la structure qui l'a rendu possible.
Si la structure existe alors par elle se dessine la réelle dimension de ce qui non pas est mais existe ; parce qu'une structure est un rapport et consiste en ce rapport, d’une part mais aussi et peut-être surtout parce que le sens, la direction de l'être (du donné là déterminé) est l'actualité ; si il se passe quelque chose (et donc quelque Réel) c'est dans l'actualité du champ de la perception.
Que l'on soit selon l'exister et non selon l'être veut dire que l'être était une station momentanée et que depuis Descartes nous sommes passés de l'autre côté ; Descartes ne prélude pas à la raison abstraite et théorique (qui sera annulée par Kant de toute manière) mais inaugure la possibilité de prendre conscience de la conscience ; comme activité, comme activisme, comme source et comme structure.
Aussi est-il tout à fait inutile de tenter de redéfinir ce qui remplacerait l'être comme tel ceci ou cela ; il n'y a aucune « réalité » qui puisse se substituer à la forme du réel ; et même l'intentionnalité ou encore la représentation « sujet » ne sont que des ébauches de ce que par sujet, structure, réel on pourrait entendre. Ce qui existe en tant qu'antériorité (à tout) doit ainsi se retrouver soi dans la forme la plus exacte possible ; parce que toutes les déterminations qui paraissent autres que la forme-réel, autre que la dimension en elle-même (de l'exister), sont les effets, les splittages de ce qui dans sa structure propre est précisément de distinction.
De là à penser que si la distinction joue infiniment (ce qui veut dire que nulle part deux réalités son identiques … ce qui est le cas) alors la surface (de perceptions) que cela élabore est précisément la plaque photographique ou cinétique du réel.
Le réel, cette surface, qui doit impérativement (se) percevoir (comme toujours absolument Autre) pour se distinguer (et donc parvenir à la perfection effarante du devenir-plus-grand) jouxte absolument le moindre déplacement. Ce qui revient à dire que toujours et continuellement le présent accompagne la moindre des réalités. Toujours le présent est en-avant et re/vient (cad revient et vient à la fois, puisque le temps ne fonctionne pas dans et comme présent mais comme effet de cette structure qu'est le présent, qu'est l'exister, à savoir l'instant).
Bref.
En passant de l'être à l'exister il s'avère impossible de définir l'être comme « réalité des réalités » puisque ces réalités précisément ne sont pas résumables ; elles s'étalent au devant, comme surface, comme univers, comme champ, et il est rigoureusement inimaginable et impensable que l’ensemble des réalités soit « une réalité » ; c'est bien l'évidence cartésienne qu'il y ait, là au-devant, un monde, et que l'on ne peut pas, peut plus le « penser » selon les qualifications scolastiques, et plus loin selon la pensée grecque ; puisque quand bien même cette opération permettrait de définir un « gros objet », on sait depuis Descartes que le sujet, lui, est à l’extérieur et autre (que tout monde et que toute pensée, au sens large cartésien, de tout ce qui est représenté, implémenté en nous à partir des perceptions, ce que Kant analysera).
Il est évident par ailleurs qu'il est impossible d'inscrire notre être (qui n'est pas un être) dans la détermination... ça n'est pas ce monde, ce vécu ou ce corps, ni cette communauté ou ce langage. C'est une structure et une structure antérieure à l'universel mais qui promeut l’universel comme son moyen et retraduit toutes les réalités en systèmes de signes, et ouvre ainsi des champs de perceptions (typiquement les esthétiques mais aussi les éthiques ou politiques ou idéels (sciences, théories, idéologies, etc) ; il est hors de question d'abandonner l’universalisation, qui est l'universalisation des intentionnalisations possibles. Non seulement des intentionnalités telles que données, acquises, perçues, mais des intentionnalités inventées et créées ; l’universalisation est une des possibilités de la structure mais la structure est plus rationnelle encore que l'universalisation . D'une manière générale il est non seulement non souhaitable mais irrationnel de considérer que tel ou tel système serait erroné, puisque nous n’en jugeons pas selon un « super contenu » qui serait « le système » de savoir ou de connaissance mais selon « quel champ ce système_me ou cet autre ouvre comme champ de perception ? ».
il faudrait donc décrire l’universalisation élargie qui est impliquée par ceci que, par ex, les esthétiques, bien que n'étant pas pensables universellement (en prenant comme base la raison classique, on ne peut pas réduire les esthétiques à un corpus), les esthétiques manifestent une universalité autrement plus étendue que les « simples » doctrines massives et par rapport à la différenciation élevée des esthétiques, des doctrines monolithiques.
Or il est probant que les esthétiques qui œuvrent des champs entiers de perceptions, à chaque fois, en chaque occurrence, exclusive, ne seront pas réduites à une unité de connaissance. Donc ça n'est pas la connaissance qui est en jeu, mais l'activité des sujets ; l'activité des sujets en ceci que les sujets, seuls, ouvrent le réel, et le réel non pas donné là (comme le ferait une connaissance selon son objet spécial) mais aussi et plus encore le donné Possible.
Et de fait le possible ne peut pas se transformer en universalisations qui seraient fixées, voire figées, mais bel et bien en universalisations pro-actives ; qui consistent à créer les universalisations potentielles, lesquelles n'engendrent certes pas un champ infini de possibilités, mais un champ indéfini (on ne sait pas vers quoi les créations se dirigeront et on ignore quelles créations antérieures seraient susceptibles de valoir indiscutablement ; tout dépend de l’orientation, au sens quasi physique, de votre regard, adorant Beethoven plutôt que Mozart ou l'inverse, Led Zep ou Dylan).
Or donc le seul point général commun serait chaque sujet lui-même, au sens de percevoir ; toute universalisation, élargie, permet de regarder la réalité à partir du point le plus extrême ontologiquement, toute esthétique, poétique manie l'ontologie, puisque l'on a dit que l'ontologie n'est pas la métaphysique ; qui tient à toute force à ramener, et non pas réduire, la réalité à une généralisation ; et cette opération n'est pas une réduction parce que les idées et les systèmes d’idées exposent, montrent, dévoilent des réalités qui autrement ne seraient pas perçues et requiert l'expérience individuelle, au-dessus et en plus de la perception commune ou langagière habituelle, et donc ces idées permettent d'inventer des signes vers des choses réelles, des mouvements réels, des systèmes réels ou des champs entiers de perceptions non seulement donnés mais créés.
Si le réel ne tient pas dans un corpus ou une matérialité consistante, alors sa vérité devient « cela qui est créé », la suspension au possible ; il y a un monde, une réalité afin que le possible se déploie, et donc ce que l'on voit selon les esthétiques est perçu du point le plus éloigné ; le divin qui était sensément le point du lointain, s’avère le plus proche et tellement proche qu'il est ce par quoi se produit un monde, en occurrence la possibilité de champs de perceptions créés.
C'est bien pour cela que le christique ou le sujet ou le réel (mais aussi dieu et l'être, juif, monothéiste et chrétien) pré-dispose du monde (dieu), du donné et de la perception (grecs), du vécu et du corps (christique), du monde-étendue et de l'existence (de Descartes à Lacan) ; on y perçoit à partir du Bout. On y est déjà tout au Bout, qui en venant vers nous pré-dispose le monde, la réalité, l'existence. Le Créé est la catégorie qui les surpasse toutes, et qui vient avec dieu, le christique, l'être (bien que les grecs ne s'en rendent pas compte à eux-mêmes ainsi, mais plus comme la mise au jour de l'ordre qui doit être appliqué par tous et selon le monde-cosmos, mais ce faisant ils créent quantité de systèmes d'idées, de perceptions possibles).
Tout engagement dans une Œuvre (esthétique, poétique, philosophique, éthique, politique, idéelle) creuse la réalité (donnée) à partir du Bout et donc Crée. La règle n'est pas la conformité à un ordre mais comme le christique et le monothéisme l'imposent qu'il s'agit de continuer l'Œuvre de dieu, ce qui est Créer, à proprement parler.
Dieu se libère des anges (qui sont tellement parfaits qu'ils ne comportent pas l'imperfection nécessaire à une « encore plus grande perfection ») et lance sur la piste les êtres humains, lesquels seront chargés de se rendre eux-mêmes encore plus capables ; et donc imparfaits dans un monde de terreur et de douleurs, sans doute, puisque précisément il s'agit pour tous et pour chacun d’acquérir, de trouver, de fabriquer la certitude malgré et au travers de la terreur et de la douleur. Lancement que certains anges n'admettront pas, puisque parfaits, et manifestant par leur révolte que justement parfaits ils ne l'étaient pas... Que la perfection (celle réelle) est bien toute autre et bien plus étrange.
La question est donc devenu ; quelle perfection suffisamment parfaite ?
On sait alors qu'elle consistera au minimum en la traversée de la terreur et de la douleur. Qu'elle sera plus grande (que tout). Qu'elle sera créée. De l'ordre, de la dimension du Créé. Que dieu lui-même n'y suffit pas, qu'il a envoyé son « fils » (cad lui-même selon une de ses faces, un de ses visages), son fils le sur-divin, le dieu en plus du dieu unique, et que ce dernier nous a dit ; cela a déjà commencé.
Le christique est le deuxième visage du divin, en ceci que le premier, le père est l'intention (ce sur quoi se fonde toute nation de croyants) tandis que le christique est la marque de cette intention, et comme il s'agit de l'intention de dieu on ne s'étonnera pas que cette marque contient tous les signes ; les mondes, les petits oiseaux et les vers de terre. Le signe de l'unique intention est indéfiniment diversifiée en quantité de signes, de réalités. Et cet ensemble-signe du Verbe devient ce corps singulier par lequel cet ensemble reçoit un autre-nom, qu'il Crée instantanément dans le temps de son apparition ; le christ. Avant qu'il soit le christ, il n’existe que le verbe, mais ensuite il existe le christ ; le christ est la nouveauté, par qui toute la création, justement, est re-Créée.
Et donc ce par quoi à toute la création et l’histoire et le temps s'ajoute une sur-dimension absolument inimaginable et qui s'impose pourtant comme étant celle à partir de laquelle on va percevoir dorénavant.
C'est pour cela qu'il faut insister sur cet immense dispositif (que l'on y croit ou non) qui se met en place dans l’historicité ; ça rend possible tout le reste (et donc nous, chacun en tant que chacun, toutes les nations et toutes les esthétiques, etc).
Or bien sur il ne s'agit pas de créer n'importe quoi... Ce qui veut dire que toutes les réalisations qui en feraient que reprendre les déterminations, n'inventent pas une voie, mais réintroduisent les mêmes déterminations dans un sans doute nouveau circuit mais non pas un circuit en plus. Il ne s'agit pas de miroiter selon d'autres compostions, mais de créer la voie ; non pas une seule et même voie, mais la seule et unique voie parce qu'elle se situe avant tout, avant tout ce qui est, tout ce qui fut réalisé déjà. Encore plus en amont et encore plus en aval.
Alpha et oméga.
Et à chaque fois n'étant pas une composition, cette nouvelel autre voie (qui est la même et continue la Création d’une part et le Créé d'autre part) est inimaginable. Et qui plus est elle ne sera pas imaginable en seconde part, on veut dire une fois créée et donnée à la vue de tous et chacun on ne pourra absolument la reprendre pour la réinterprétée, puisque c'est précisément ce à partir de quoi on interprétera ; l'arc permet de produire mais ne peut pas être reproduit. Sinon dans une autre et par une autre création. On peut comprendre Descartes par Kant, mais du point de vue et de rupture de Kant … Descartes sinon est ininterprétable en soi ; on ne peut pas contredire, mais seulement ajouter à.
Ou donc un diagramme (une esthétique, une philosophie, etc) est donnée à voir à nouveau à partir d'un autre diagramme (mais qui est lui-même programmatique et non pas une théorie de la théorie, parce qu'il ne s'agissait nullement d'une théorie-système-pensée mais d’une position ; on peut avancer dans le point lui-même de la position mais non pas déduire un achèvement.
Ainsi parlant de dieu on ne l’intègre pas dans une théorie ; comment cela se pourrait-il ? De même le christique mais aussi Platon ou Descartes. C'est bien pourquoi rien jamais ne dispense de lire et d'explorer dieu, Descartes ou Lacan ; rien.
De même on en dit pas « le centre de tout est dieu » ou « il est le sujet » ou « il est l'exister pur et brut » ; ce sont à chaque fois des versions (cad des possibilités ou même des créés) à partir d'un centre que l'on discerne très loin et si immense (étant le centre à partir duquel tout est perçu, cad réalisé, comme mondes, ou comme vécus, et ce à partir duquel tout est réel...)
On ne dit pas ; il s'agissait de dieu, ou du sujet ou de l’universel (substance, idée des idées ou esprit hégélien, etc). On dit que le centre est signifié plurielle ment, ajoutant ceci que si le centre est le centre alors sa perfection est de se Créer. Et non pas la fixité ou la perfection morte. Et donc il est, dans la nature, la structure même du centre de se mouvoir et de se projeter effectivement dans et par une pluralité.
Ce que paraissait inaccessible jusqu’alors (la pluralité des orientations du centre) est rigoureusement instancié ; il est pluriellement parce qu'il se Crée.
Autre manière de dire ; on constate que le centre se présente, à nous, diversement donc il est dans la logique du centre (pour employer un terme neutre si l'on a compris) de se présenter pluriellement.
Au lieu de croire péremptoirement que toutes les voies sont des erreurs ou des illusions ; ce qui serait une considération totalement irraisonnée, et en outre d'une telle arrogance et pour le dire bêtise. Pourquoi les juifs ou l'islam ou Aristote ou Eckhart ou Hegel ou Nietzsche seraient plus stupides que nous-même ?
Et au lieu de pleurer sur l'abandon du divin, ne faut-il pas précisément affirmer que si il nous échappe c'est que justement il ne peut pas être saisi : on en est saisi (et il est inimaginable, c'est autre chose que l’imagination, la composition de déterminations qui s'impose à nous). C'est la volonté de le saisir à toute force qui nous en écarte absolument.
Toute manière de se saisir, volontairement, techniquement (ou orgueilleusement selon les termes du croyant) du divin, du centre ou du réel retentira d’intérêts quelconques du monde, du vécu, du corps, d’intérêts pauvres et qui ne parviennent pas même au début du commencement de la pointe des babouches du divin ou de la structure. Laquelle n'existe pas selon le monde, ni d'aucune séparation ou réunion, composition du monde ou du moi. Les intuitions dites métaphysiques (au sens vague habituel ou précis de la philosophie) ou ontologiques (au sens strict depuis Descartes) existent en plus et valent antérieurement à tout monde ou tout état du monde.
Et effectivement si cette altérité (en quoi consiste que nous ne sommes un mouvement, un rapport et non un être ou un état) ne nous appelle pas, ne vient pas vers nous, nous n'en obtiendrons aucune intuition réelle mais seulement un masque ou une image ou une imagiantion ou un concept ... Ce qui se nomme la grâce divine ; mais elle est accordée à chacun, sous condition de l'accepter, de s'y humilier ou d'en être saisi (cela revient au même) ; il n'y a aucun autre moyen, tous les autres sont composés d'une part et de vanité d’autre part.
Le fer de lance de l'expérimentation depuis la méditerranée, lorsque la structure (vide et formelle) passe au devant de tout monde et de tout langage : pour explorer sa propre perception de structure (hors du monde), rendant possible d'inventer et de créer quantité de vérités, esthétiques ou éthiques, etc ; si nous les produisons c'est que nous existons en dehors, mais où ?
C'est la réponse à cette interrogation qui est en jeu, depuis le début ; « où » est dieu, l'être, le sujet, le réel ) Il s'agit depuis le début de décrire l'architecture de cette structure. Et comme c'est un mouvement il s'agit d'entrer dans la dimension du Créé. Puisque le Créé est directement issu de la structure ; il y a un réel afin qu'il se crée un Réel.